Le Gardien des abeilles, de Jean-Paul Froustey, Editions Lucien Soury, roman, 2011, 18 €, 248 pages.
Quatrième de couverture :
“Trahi par une journaliste, calomnié par ses collègues et délaissé par sa femme, Xavier renonce brutalement à une prometteuse et brillante carrière d’urgentiste dans un hôpital parisien. Il abandonne tout et choisit une existence loin des hommes, en osmose avec la nature, au coeur de la forêt landaise. Intellectuel avéré, il se révèle aussi comme un artisan minutieux et exigeant qui, après des années de travaux, va donner une seconde jeunesse à la vieille maison qu’il a achetée. Par ailleurs, il se découvre un talent d’apiculteur avec les colonies d’abeilles abandonnées dans le parc de sa demeure. Il se prend de passion pour ses locataires qui, contre toute attente, ont résisté malgré l’absence de soin.
Considéré comme un ermite ombrageux, bourru et inaccessible par ses lointains voisins, Xavier s’épanouit pleinement dans son nouvel environnement qui lui offre un hâvre de paix et l’équilibre tant recherché. Mais sa vie de reclus va brutalement basculer : d’abord lorsque Camille, cette journaliste qui a déjà brisé sa vie, croise de nouveau sa route, puis lorsque l’ouragan Klaus dévaste la forêt, le laissant gravement blessé.
Après avoir fui la société, mis fin à ses activités professionnelles et à ses relations, Xavier renoncera-t-il à la vie ou développera-t-il l’instinct de survie, à l’image de ces essaims d’abeilles qui ont survécu à la tempête ?”
Dans cette histoire haletante et profondément humaine, Jean-Paul Froustey nous fait vivre le combat incessant que l’homme livre avec la nature dans une des plus grandes forêts d’Europe. Un roman en hommage à un patrimoine naturel, précieux mais fragile.
Extrait : page 11, 1ères lignes 1er paragraphe :
“Pour la première fois, Camille avait décidé de prendre des vacances seule, loin des gens du show-biz et de la télévision. Elle en avait assez d’aller au bout du monde, de se heurter à son voisin de bureau qui avait eu la même idée ou qui,n comme elle, avait cédé à la mode du moment.
La jeune femme avait ouvert une carte, comme l’aurait fait un enfant, elle avait pointé son doigt au hasard : Mimizan.”
Mon avis :
En ouvrant ce livre après avoir lu la quatrième de couverture, j’étais persuadée d’avoir entre les mains un ouvrage qui me parlerait nature, écologie….
En fait, si les difficultés des sylviculteurs sont évoqués, l’auteur ne s’appesantit pas dessus et laisse …
Suite de l’avis : ICI
D’autres avis de lecture ici, dans la bibliothèque de mariessourire
et un récap des livres lus depuis le début de l’année ICI
Avr 15, 2012 @ 10:16:04
Après avoir lu ton avis sur ce livre, on a qu’une envie : l’acheter et le dévorer. Bisous
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Avr 15, 2012 @ 11:31:37
oh ben tant mieux alors ! parce que je l’ai bien aimé, ce livre !
et en plus, si tu l’achètes, tu verras d’une autre façon l’endroit où je vis, car ma commune fait partie du parc naturel régional des Landes de Gascogne
je précise que je n’ai pas pris ce livre à la bibliothèque parce qu’il parlait de la forêt des Landes, mais parce que son titre et sa couverture m’ont interpellé !
n’hésite pas, c’est une belle histoire !
sourire
bisous Toi !
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Avr 15, 2012 @ 11:04:44
le titre forcemment m’a fait de l’oeil mais le contenu m’a l’air tout aussi intéressant, et j’aime bien les personnes capables de se révéler face aux épreuves, et de changer. Je suis un peu (trop) prise en ce moment mais dès que je trouve le temps je vais essayer de me le procurer.
Bises et merci. Bon dimanche.
J’espère que ton RDV à l’hôpital s’est bien passé.
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Avr 15, 2012 @ 11:37:20
j’avoue qu’à moi, ça ne m’a pas fait tilt ! rire
alors que c’était si évident…
c’est un livre récent mais je pense que tu peux te le procurer à la bibliothèque comme je l’ai fait (ou sur amazone, probablement)
oui, à l’hôpital, tout s’est bien passé, mon oeil va plutôt bien, et je dois continuer à avoir une vie trèèèèès calme (il m’a juste fallu patienter 3 heures et demie… c’est tout !)
je croise les doigts pour que tu puisses faire les choses que tu aimes et dont tu as envie, la vie c’est tellement souvent une course contre la montre…
beau et bon dimanche à toi aussi !
mille bises
sourire
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