dans la tourmente


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il pleut, il vente, les vagues sont là …

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bien sûr, ce ne sont pas des vagues océanes, même si l’océan s’est engouffré dans le Bassin d’Arcachon

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mais ce sont des vagues !

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l’eau est sombre, comme le temps

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mais quand je dis sombre, c’est sombre …

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heureusement, parfois, un rayon de soleil se fraie un chemin de lumière

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comme un rayon d’espoir !

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quand le vent caresse ta joue…


trouvé sur le net

Il est des temps


Il est des temps dans la vie où regarder vers demain
Est impossible tant est grande la souffrance d’aujourd’hui
Il est des temps à donner à l’autre sur son chemin
Pour qu’il puisse à nouveau revenir dans la véritable vie

Il est des temps où l’on ne peut que donner et espérer
Où l’on veut donner toute notre force à l’être aimé
Lui donner envie de croire à la guérison de son âme
Et lui donner envie de continuer avec nous, sa dame

Il est des temps qui ne sont pas faciles à réussir à vivre
Où l’hiver, à tort ou à raison, a fait don au cœur du givre
Mais le printemps viendra et réchauffera ce petit cœur
Lui donnant encore et encore tout plein de douceurs

l’autre Elle


Que peut-on pour l’être aimé quand celui-ci se réfugie
A l’ombre des souvenirs de bonheur tant et tant chéris ?
Que peut-on pour l’être aimé quand celui-ci nous oublie
Dans le quotidien préférant toujours le hier à l’aujourd’hui ?

Tendre notre main en y mettant dessus tout notre cœur
Vouloir encore remplacer le malheur par le bonheur
Lui donner davantage encore, l’aimer encore plus fort
Voir la flamme dans ses yeux grâce à notre réconfort

Contre l’absente, il n’y a d’armes
Pas même le pouvoir des larmes
D’avance, le combat est-il perdu ?

Infinie-tristesse

eh bien voilà, ça y est !


Eh bien voilà, ça y est …
L’été a rendu les armes !
L’automne peut exister …
Non sans colère ni larmes !

Mais
Qu’est ce que l’automne ?

  

CitrouilleHaloween 

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Il ne nous reste plus qu’à avancer sereinement vers le calme de l’hiver en profitant de chaque moment que l’automne nous donne : de la couleur, de la fantaisie….

Qui a tué Cupidon ?


25 Novembre 2009

10h47 :

aaaaaaaaaaaaaaaaaaargh ! mais qui a fait ça ?

11h27 : enquêtons, enquêtons …
d’abord je lance un appel à témoins !
qui a vu quelque chose ?
dites moi tout, n’hésitez pas … il nous faut trouver l’auteur(e) de cette flèche malheureuse !
tous les détails comptent, même et surtout les plus petits …
si je ne suis là pour cause d’enquête minutieuse, laissez moi un message, je le consulterai dès mon retour !
je compte sur vouuuuuuuuuuuuuuuuuuus !

13h23 : je résume
c’est ptet personne
et pourtant
la flèche est bien dans cupidon
si ça c’est pas un mystèèère ?
aaaaaaaaaaaaaaah les amis !!
un anonyme m’a envoyé un message ….
j’en tremble encore
je ne vous le montrerais pas ….
quoique ?
ptet que ?

et avec ce message, une photo …

13h36  : et maintenant une lettre …

mais où tout cela nous emmènera t il ?
je regrette d’avoir découvert ce pov cupidon …

14h16 : alleeeez encore un message anonyme …

je n’y comprends pas grand chose
surtout qu’à chaque fois, j’ai une adresse différente ….
voyez vous même :
anonyme@enfer.com
anonyma@ileperdue.fr
ann.onimmes@lydwinne.fr
je m’y perds, je m’y perds …
j’en ai même perdu mon latin !

les zamis ?
si je ne suis pas revenue ce soir avant 21h00, vous préviendrez la police ?
je ne veux pas finir comme ce pov cupidon moa !!
je compte sur vouuuuuus !!

14h24 :

de ano.nim@désert.com

19h58 : cupidon est mort de ne pas avoir été cupidon …
voui
vous avez bien lu !


en fait, cupidon a un secret, cela m’a été difficile de le découvrir, j’avais trouvé un petit bout de la réalité, mais ce que j’ai découvert m’a laissé sans mot …
mais je peux vous affirmer avec certitude à cette heure-ci que nul d’entre nous n’est coupable ! d’ailleurs, j’ai pris des photos au fur et à mesure de mon cheminement vers la vérité afin que nul ne puisse me dire : "c’est faux, mariessourire a tout inventé !!"
sourire


donc je suis partie cet après midi à partir d’un indice fort troublant… rappelez vous cette lettre étrange, avec des "I hate you" tout partout et un cœur au milieu ? vous vous rappelez ? c’est à ce moment là que l’évidence s’est faite dans mon cœur …
pour en avoir la certitude, j’ai pris la route, et j’ai grimpé sur un long, long mais long escalier !

 

cela m’a pris un certain temps, je dois l’admettre, surtout que je n’ai pas cessé de me faire doubler !!
enfin, j’ai fini par arriver tout en haut, jusqu’à la porte du paradis …

mais oui, c’était bien la porte du paradis ! qu’est ce que vous vous imaginiez ? les choses les plus simples font partie de la vie … même la porte !

j’ai été accueillie non pas par saint pierre, non, il s’occupait des nouveaux arrivés, ceux qui m’avaient doublé, mais par saint michel…

il m’a demandé fort gentiment, mais très fermement ce que je venais faire ici, puisque je n’avais pas été appelée !
je lui ai demandé s’il ne lui manquait aucun ange dans sa brigade… car cupidon avait été découvert assassiné, en bas de l’escalier, à 10h47 très précisément ce matin !
il a regardé dans un grand livre et m’a répondu ceci (je vous préviens, c’est très étrange !) :

"ce que vous m’annoncez est impossible ! certes cupidon manquait à l’appel de 12h01, mais il ne peut être mort !
– pourtant, tel est bien le cas !
– je répète, mariessourire, j’ai dit impossible qu’il soit mort, c’est une certitude !
– pourquoi une telle certitude ? je l’ai pourtant bel et bien vu de mes propres yeux ! il était allongé sans vie, avec une de ses flèches plantées dans le dos au niveau du cœur !
– je répète, il manquait à l’appel de 12h01 mais pas à celui de 11h13, ce qui signifie qu’il ne peut être mort d’une part, et d’autre part, tu me dis toi-même qu’il avait une de ses flèches plantées dans le cœur…. ses flèches ne sont pas mortelles, c’est à peine si on peut les sentir, alors en mourir !! tu auras vu une illusion, voilà tout !
– et dire que j’ai fait tout ce chemin pour ça ? mais ? un ange peut-il manquer un appel ?
– jamais ! c’est impossible ! et c’est tout à fait étrange que cupidon ne se soit pas manifesté mais je n’ai aucun doute sur le fait qu’il soit en vie, il est facétieux, et ça lui arrive parfois de se cacher quand il ne veut plus travailler…
– a-t-il une cachette ? où puis-je le trouver ?
– tu le trouveras là où ton cœur te dictera d’aller …."

et voilà comment saint michel a mis fin à notre entretien.

par contre, si la montée de cet interminable escalier fut lente, la descente fut magique !
saint michel m’a regardé une dernière fois et a posé son épée sur mon épaule gauche.
j’ai fermé les yeux, et j’ai senti comme un courant d’air tout doux
j’ai osé les rouvrir, ouh la, mauvaise idée ! ça m’a donné le vertige !!

enfin je sentis la terre ferme sous mes pieds ! quel bonheur mes zamis, vous n’imaginez même pas !
enfin ce bonheur là fut de courte durée, car je me trouvais là :

pas vraiment mon point de départ ! en plus, le réseau qui ne captait même pas !

une bien longue marche m’attendait… pendant que je gravissais la montagne, j’essayais de réfléchir à ce lieu si mystérieux !
où l’ange de l’amour pouvait il bien se cacher ? où me cacherais-je si j’étais à sa place ?

plus je grimpais
plus je me disais que la solution était certainement plus simple qu’il n’y paraissait !
regardez, déjà avec la porte du paradis !

alors je me suis assise au bord d’un petit lac et j’ai laissé mes pensées naviguer sur l’eau calme de ce lac …

évidemment ! c’était si simple !
où pouvais je trouver l’ange de l’amour, si ce n’est près de l’amour ?
à cette évocation, mon cœur s’est rempli d’amour
et regardez ce que je vis à ce moment là :

la plume d’un ange voletait devant mes yeux …
et pas n’importe quel ange !

 

oui, cupidon était bel et bien en face de moi !
quel moment incroyable ! magique !

il m’a mis son index sur ma bouche, m’empêchant de lui poser toutes les questions qui se pressaient à mes lèvres.
il me regarda bien droit dans les yeux et me dit :

"je suis celui que tu cherches tant… je sais pourquoi tu veux me voir ! sache que je n’y suis pour rien, hm, enfin, hm hm, presque pour rien ! l’ange que tu as vu transpercé d’une flèche me ressemble tant que c’est à s’y méprendre mais il n’est pas cupidon, puisque je suis cupidon !"

je regardais autour de moi, un peu éberluée, mais secrètement ravie de cette rencontre.
ce qui me surprenait un peu, c’est de voir les gens passer à côté de nous et qu’ils ne s’étonnaient de rien, nous saluant d’un bonjour joyeux !!

il fit silence et commença à trottiner nerveusement, faisant et refaisant les cent pas devant moi.

"tu sais, mariessourire, parfois il ne faut pas rechercher la vérité, car elle peut faire du mal à ceux que tu aimes… il est plus sage alors de se taire, mais tu as voulu savoir à tout prix ! quel besoin as tu eu d’aller parler à saint michel ! je vais m’en prendre une quand je vais revenir !! enfin c’est comme ça, ça devait se passer comme ça …
– oui mais, cupidon …
– chuuut tais toi donc ! regarde les promeneurs passer, ils te voient parler toute seule, ça les inquiète ! si toi tu me vois, eux ne le peuvent pas !
la vérité, c’est que j’ai un frère jumeau, cupondi. quand nous étions jeunes, il était impossible de ne pas nous confondre, mais mon frère ne voulait pas travailler à rendre heureux les gens… il fut déchu de ses droits d’ange et est redevenu mortel."

cupidon soupira d’un air si malheureux que cela me fit beaucoup de peine croyez moi !

il rajouta :

"il faut que tu saches, mariessourire, que les anges ne peuvent mourir, mais les anges déchus, eux, oui ! ce matin, cupondi a voulu reprendre son rôle d’avant, il s’est collé des fausses ailes, a pris son arc et ses flèches… et il a tiré !
et raté sa cible … au lieu de viser le cœur (bien lui en a pris), il a visé les fesses d’un jeune homme !
ce qu’il avait oublié, hélas, c’est que quand il a pris forme humaine, son arc et ses flèches sont devenues réelles elles aussi…
le jeune homme, fou de colère d’avoir été attaqué sans raison, du moins le pensait-il, a ramassé la flèche que cupondi avait laissé par terre, et l’a lancé dans le dos de mon frère … et ne l’a pas raté lui !
et dire que je n’ai rien fait pour empêcher cela …
voilà, tu connais toute l’histoire maintenant, toute cette terrible histoire !
– mais pourquoi t’es tu caché ? cela te rendait coupable !
– non, mariessourire, j’étais fou de chagrin, et fou de colère aussi après ce jeune homme ! alors je me suis enfui à 11h57 (oui les anges aiment la précision) et j’ai préféré me cacher loin des yeux de tous.
– ce que je ne comprends pas, c’est toutes ces lettres anonymes … quel rapport avec toi ?
– j’ai voulu, oh c’est difficile à expliquer, je ne voulais pas qu’on me recherche, ça me plaisait bien d’être un peu mort, et puis ça m’évitait de travailler aujourd’hui… tu sais, j’ai toujours aimé les blagues !
– celle-ci était de très mauvais goût, je t’assure !"

il m’a regardé une dernière fois, m’a souri et a disparu ne laissant qu’une larme d’amour au sol…

ps : toutes les photos sont trouvées sur le net

des mots en écho


oublié le temps perdu à ne croire en rien
à errer au fond du grand désert saharien
enfin arrivés au carrefour de vos chemins
une rencontre à l’odeur de rose et jasmin

 

dans la voix perlée de l’autre un sourire
une oreille attentive au moindre soupir
des mots en écho qui se veulent en duo
peut-on rêver quelque chose de plus beau ?

souffle de Vie


ici, le vent souffle, le ciel parfois pleure encore, soupir
j’aurais aimé aller voir mon ami l’océan, mais il est encore trop tôt pour cela
nul doute qu’il va finir par se mettre en colère non pas de mon absence – impossible ! rire –
mais ce vent qui vient le chatouiller sans cesse lui fait venir des vagues du fond de lui-même….
je regarde l’horizon…. l’arbre nu se déploie sur un fond gris-blanc
le soleil ne peut darder un seul rayon

et pourtant

aucune tristesse dans tout cela
le vent amène son énergie tourbillonnante, et avec lui l’odeur salée de l’océan
un souffle revivifiant qui veut nous emporter
qui veut nous porter
au creux même de la source de la Vie
un temps à apprécier quand la nature se fait forte, vivante
comme lorsqu’on apprécie quand elle se fait douce, paisible

respirons
ce nouvel air
inspirons profondément
expirons doucement
ça fait du bien !

le souffle, c’est la Vie !

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et si je vous dis : confiance ?


il y en aura parmi vous qui me diront :

bon, c’est bien, rien à redire, mais c’est de la théorie… d’autres encore me diront : 

 

ah, effectivement, c’est de la confiance … mais

la confiance, c’est aussi ça …

et même sans aller aussi loin, il me semble que c’est ça aussi :

 

la confiance est comme un château de sable : difficile à construire et facile à détruire mais sans confiance, que devenons-nous ?

alors, si je vous dis “confiance”, vous, que me direz-vous ?

à la recherche du soleil !


Alizarine : “Il pleut à fendre toutes les âmes de chagrin …..” Voilà ce que je lis ce matin … que de tristesse ! Il pleut et le soleil n’est pas là !

Alors pour ma belle Alizarine, et pour vous tous qui pensez la même chose :

 

on a perdu le soleil ?
vous le croyez vraiment ?

pas tant que ça…
l’avez-vous cherché là où il se trouvait vraiment ?

le soleil n’est pas toujours où on l’attend…
s’il est caché par un nuage, il n’en est pas moins présent !

alors
sachons ouvrir nos yeux pour le trouver !

vous voulez que je vous mette sur la piste ?
un tout petit indice ?
sourire

d’accord !

 

ah ah ?
ça y est ?
vous l’avez trouvé ?

bravoooo !

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