Ah comme j’aimerais voir l’intérieur de ce château ! Hélas, il n’était pas encore ouvert au public le jour où j’y suis allée.
Et oui, il y a de l’eau autour de ce château ! C’est assez rare pour le souligner.
Je le trouve magnifique ! Et j’imagine très bien le parc qui va avec !
Un peu d’histoire ? (cliquez sur le mot histoire !)
Sur la rive droite du Clain, s’élève l’imposant et élégant château de Dissay. Bâti au XVème siècle par Pierre d’Amboise, évêque de Poitiers, il fut agrandi au XVIIIème siècle. Flanquée de hautes tours blanches, sa silhouette se reflète gracieusement dans l’eau des douves qui l’entourent. La visite permet de parcourir la cour intérieure et d’admirer la tourelle d’angle polygonale. Elle abrite un escalier se terminant par une magnifique voûte en palmier. A ne pas manquer la chapelle qui abrite un bel exemple de fresques du XVIème siècle, illustrant le thème de la Fontaine de Miséricorde et les beaux vitraux du XVIème siècle. Une promenade dans le parc dessiné par Le Nôtre conduit le visiteur sur les traces de François Ier ou Louis XIV, qui furent reçus en ce domaine.
Ce qui m’a le plus surpris, mais aussi enchanté, c’est la cacophonie qui régnait en ces lieux… Nous sommes le 9 Avril… C’est la saison des amours ! Mais de quelle espèce animale ?
Vous les voyez ? Je zoome :
Qu’est ce que c’est bruyant des grenouilles qui cherchent un(e) partenaire !!
Nous ne sommes que des grains de sable mais nous sommes ensemble. Nous sommes comme les grains de sable sur la plage, mais sans les grains de sable la plage n’existerait pas.
la semaine se termine, tout peut arriver enfin vivre sans regarder sa montre ne plus courir, ne plus lutter contre juste quelques moments pour rêver
ouvrir grand ses yeux devant le monde s’émerveiller devant un papillon joli profiter de chaque instant de la vie tendre sa main et entrer dans la ronde
continuer de croire que le meilleur est là juste devant nous et nous tend ses bras s’y blottir, fondre devant tant de bonheur instant de félicité, instant de douceur
Une petite balade le long du Bassin, sous le soleil sympa c’est à dire pas plombant, le vent marin soufflant dans les cheveux… Voilà qui est prometteur, non ?
Quelle chance ! L’océan a rempli le Bassin ! Et de l’autre côté du chemin, l’eau est bien là, donnant refuge et nourriture à nombre d’oiseaux et autres animaux !
Si l’on sait ouvrir ses yeux, prendre le temps de se poser et d’observer, on peut faire de jolies rencontres au point pour moi, hélas, d’en oublier d’appuyer sur l’appareil photo ! Ici, un héron… les pieds dans l’eau, sur la berge d’en face !
Là, je ne dis rien !! C’est bien plus voyant !! Rires… Il a traversé le chemin devant mes pieds pour se poser, l’air de rien, sur une feuille. Sur la photo, il est noir alors que par moments je l’ai vu bleu marine, absolument magnifique !
L’océan se retire… Déjà ! Mais ce n’est pas possible, ça fait à peine une minute qu’on se promène !!
Oh ! Encore un autre papillon qui joue à faire le mort ! Nous sommes passées à 10 cm à peine de lui, et il n’a pas bougé… même quand je l’ai pris en photo, essayant de trouver la plus belle façon de lui rendre hommage (c’est à dire sans avoir l’ombre de ma main sur lui !!) !
La Gironde est de nouveau en deuil… Nous en étions à 28 victimes de la route (si mon compteur est exact) depuis le début de l’année et aujourd’hui, 7 victimes sont à rajouter à ce sinistre compteur, depuis minuit sur l’A10 à Marcillac (plus d’infos en cliquant ici).
7 victimes dont un enfant de 8 ans…
Quelle tristesse !
Amis conducteurs, avec moi, gardons nos yeux ouverts, mettons nos clignotants, arrêtons-nous au stop, mais surtout, arrêtons-nous avant qu’il ne soit trop tard !
Le connaissez-vous ? Nooon, mieux que ça !! Par exemple, saviez-vous que…
Christophe Maé (né Christophe Martichon le 16 octobre 1975 à Carpentras) baigne dès sa plus tendre enfance dans un univers musical teinté de jazz et de soul, initié par un père musicien amateur. Il effectue alors successivement l’apprentissage du violon à six ans, de la batterie à douze et de la guitare à seize, sans trop savoir quel instrument privilégier. De Nature sportive, passionné de tennis et de ski, l’adolescent de seize ans découvre qu’il est atteint d’une polyarthrite chronique qui sitôt l’oblige à rester alité. Il se tourne vers le chant et l’harmonica, vouant une passion pour les répertoires de Stevie Wonder, Marvin Gaye, Bob Marley et Tracy Chapman, dont il apprend les disques par c?ur, et participe à un stage de l’harmoniciste Jean-Jacques Milteau. Dès lors, Christophe Maé est bien décidé à devenir musicien, et commence par se produire dans les piano-bars et fêtes de la région, mis à l’épreuve comme tout musicien débutant, et finissant par faire la manche à St-Tropez. (source Deezer)
Et saviez-vous aussi que…
Décembre 2006. Christophe fait ses adieux à la scène du Palais des Sports de Paris ! Une partie de la belle aventure du « Roi Soleil » s’achève mais Christophe repart sur les routes de France, de Suisse et de Belgique pour la dernière ligne droite de l’aventure du « Roi Soleil », avant de voler de ses propres ailes… 19 Mars 2007. Son premier album en solo frappe où on ne l’attend pas ! Douze titres dans un style de musique soul acoustique aux influences africaines, imprimés d’une signature vocale très particulière et latine en diable. Une voix malléable et profonde, juste dans toutes ses émotions et qui nous fait vibrer, tout simplement. « Mes chansons racontent des histoires de tous les jours avec des mots simples. Chacun d’entre nous croit les avoir plus ou moins vécues. » Le blues ensorcelant de « On s’attache », premier single extrait, affiche l’anti-conformisme et l’esprit indépendant de l’artiste. Lorsqu’il chante « Maman », un titre sur l’amour parental vu par un adulte, c’est l’image de notre propre enfance qui remonte à la surface. « Sur presque tous mes titres, je pose des questions ». Et Christophe ajoute ça-et-là un peu de folk, de reggae ou de blues et offre un premier opus ouvert aux possibilités musicales.
L’aventure en solitaire lui tend les bras. « Je cherche à me retrouver, à retrouver mes racines. Dans la vie, il faut toujours savoir qui on est, d’où on vient… Comme dit l’adage : si tu ne sais où tu pars, regardes d’où tu viens. On peut ainsi mieux vivre. » Harmonieusement mis en sons par Volodia (NTM, Obispo, Amel Bent) dans les studios Apollo de Suresnes, son album compte la prestigieuse participation des musiciens de Ayo ou Teri Moise. « Je l’ai moi-même en grande partie écrit et composé tout en collaborant avec Lionel Florence pour quelques textes et Bruno Dandrimont, mon ami de toujours, à la composition… » C’est sur sa guitare fétiche que la plupart des morceaux ont vu le jour, ces dernières années… Populaire, Christophe l’est indéniablement, grâce à sa sincérité, son franc jeu enthousiaste et une personnalité d’écorché vif. Il n’y a qu’à regarder son visage quand il joue de la guitare ou de l’harmonica et quand il chante… Il séduit et conquis sur le poignant « Spleen », il nous fait l’inventaire de ses amours présents et passés sur « Belle Demoiselle », il rayonne sur le chaloupé « C’est Ma Terre », il nous fait prendre le goût du large sur « Mon Paradis » qui donne son titre à l’album… Lucides, complices et pleines de compassion, ses chansons sont autant de bouteilles jetées à la mer… qu’il brisera bientôt dans des salles de concert, au plus proche de son public. Constamment entre deux rives émotionnelles et stylistiques,Christophe est enfant de bohème. Il n’a jamais, jamais connu de lois. (source http://www.christophe-mae.fr/biographie/).
On s’écoute son dernier single ? oui… celui-là qui parle de la rumeur… sourire