Bonne Année !


Bonne et heureuse nouvelle année à chacun d’entre vous, à qui je garde une place dans mon coeur, que vous soyez venu chaque jour ou une seule fois !

Que 2015 vous emmène sur un chemin fait d’amour et de joie, de sérénité et d’harmonie ! Que les fleurs du Bonheur poussent sous vos pas et qu’elles illuminent votre vie !

Que cette année nouvelle vous garde en bonne santé par-delà les jours, qu’elle soit fructueuse, riche d’amitié et de liens profonds !

Que cette nouvelle année soit un réceptacle où se mêlent enthousiasme, paix et bonne humeur, pour que des tas de petits bonheurs naissent jour après jour !

Qu’elle soit espérance, douceur, passion, tendresse et magie tout au long de ses 365 jours !

Qu’elle soit offrande et don, envies et désirs, pleine de rêves à réaliser, des petits, des grands !

 

Douce et merveilleuse année !

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Joyeux Noël !


Joyeux Noël à chacun d’entre vous !

Que ce Noël vous apporte la Paix et l’Harmonie tout au long de la journée et qu’elles soient présentes pour chaque jour à venir !

Que ce Noël soit un moment de trêve, de douceur et de sérénité au milieu de ce monde si dur !

Que l’émerveillement soit au rendez-vous pour que vous puissiez voir le monde avec des yeux d’enfant, vos yeux de l’enfant qui est à l’intérieur de vous !

Que ce Noël soit un moment de Partage et de Chaleur dans la Confiance et la Joie mutuelles !

 

Que mille étincelles d’enthousiasme fassent de cette journée un souvenir précieux, un trésor pour votre coeur !

Que Noël soit cet esprit vibrant d’amour vrai qui nous accompagne à chaque instant de notre vie !

Merveilleux Noël à chacun d’entre vous !

La lumière


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La Fête des lumières, la véritable origine


Les Lyonnais ont pris l’habitude, depuis le premier Vœu des Echevins, de demander l’intercession de la Vierge, pour une maladie, le retour d’un soldat, un enfant…
Ils se rendent fréquemment au sommet de la colline de Fourvière dans une petite église qui domine la ville – celle qui encore aujourd’hui est là, blottie contre la basilique.

Les années passent et les pèlerins sont toujours plus nombreux. La vieille église doit être restaurée. A partir de 1848 on se pose la question de refaire le vieux clocher. En 1852 la restauration du clocher est terminée et l’on va placer sur celui-ci une magnifique statue de Marie en bronze dorée.

Bien entendu la date choisie est celle du 8 septembre 1852, celle de la Nativité de Marie. Malheureusement le ciel n’est pas d’accord, quelques jours avant, les nuages grondent, la ville se retrouve sous des torrents d’eau et la Saône déborde.

Une nouvelle date est choisie : le 8 décembre, elle aussi fête de la Vierge, c’est la fête de Notre Dame des Advents qui deviendra deux ans plus tard, en 1854, par une Bulle Ineffabilis Deus, du pape Pie IX, la fête de l’Immaculée Conception.

Mais ce jour là, des orages terribles éclatent et de nouveau la Saône menace. Les notables décident de repousser une seconde fois la cérémonie – mais miracle, en fin de journée les nuages poussés certainement par un doigt divin vont mouiller d’autres terres et le ciel se fait clément.

Les Lyonnais, installent alors à la nuit tombée sur leur fenêtre, lumignons, bougies, bougeoirs qui vont illuminer la ville d’une douce lumière. Les bougies brûleront jusqu’au petit matin.

"Tout à coup apparaissent à quelques fenêtres inconnues des lignes de feu… La ville s’était embrasée en un instant. Bientôt, il ne restait plus, sur la vaste étendue des quais, des rues, des passages ignorés et des cours invisibles, aucune fenêtre obscure. Les petits marchands, les clochers, illuminaient leurs baraques, leurs voitures et jusqu’aux bordures des trottoirs… Quelques feux de Bengale s’allumèrent sur les toits de la chapelle de Fourvière, la statue de la Vierge apparaît et la grosse cloche de Saint Jean, cet éloquent interprète des joies publiques, est lancée à toute volée. A huit heures, la population entière était dans la rue, circulant, paisible, joyeuse et attendrie. On se serrait la main sans se connaître, on chantait des cantiques, on applaudissait, on criait : "Vive Marie ! " Les étrangers n’en revenaient pas de leur surprise, et les Lyonnais, tout remplis qu’ils étaient de cette fête improvisée, se demandaient comment, en un instant, une population de trois cent mille âmes avait pu être saisie de la même pensée".

Et traversant le temps, ce qui était un geste de Foi s’est dilué dans le patrimoine laïque lyonnais et le fait de mettre quelques bougies à la fenêtre le 8 décembre, se perpétuera dans toutes les familles – toutes religions confondues. Comme pour écarter un ancien malheur, comme le remerciement d’une ville d’être encore vivante, comme un geste de joie.

Rien n’oblige les lyonnais à mettre ces petites bougies et pourtant j’en connais, qui loin de Lugdunum, à Paris, à Rome, à Hong Kong ou à New York, le 8 décembre prochain mettront dans un verre à moutarde ou un verre de cristal un morceau de bougie et le déposeront sur le rebord de leurs fenêtres, en pensant « je suis de Lyon, moi aussi ».

Et moi aussi, je vais mettre des lumignons sur le rebord de ma fenêtre, parce que j’ai habité à Lyon deux ans quand j’étais petite, et qu’il m’est resté cette image. Un souvenir, un héritage… à transmettre moi aussi.

Les origines de la fête des lumières sont d’ici.

La fête des lumières Origine n°2


La seconde légende : celle des Prussiens qui envahissent Lyon ? et de la vierge Marie qui les arrête juste avant ?

Et bien, oui, les lyonnais ont encore raison, mais nouvelle petite erreur. En 1870 les Prussiens arrivent sur Lyon, ils ont déjà pris Dijon.

Et il y a bien un vœu qui en appelle encore à Marie. Monseigneur Ginoulhiac, alors évêque de la ville parle au nom des lyonnais : « une Basilique sera édifiée à la place de la petite église, si Lyon échappe à la fureur des allemands ». Les prussiens s’arrêtent, Lyon est épargnée et les Lyonnais doivent une cathédrale à Marie.

Voilà, encore une erreur de date, le Vœu est bien là, mais notre Fête des Lumières, nos Illuminations, elles, datent de 20 ans avant ce second vœu des Lyonnais.

La fête des lumières Origine n°1


 

Une légende bien installée, dit que la peste s’est arrêtée au abord de la ville au moyen âge et qu’en remerciement les lyonnais ont commencé à éclairer leurs fenêtres de bougie.

Petite erreur, ce n’est pas au moyen-âge que la peste ravage le plus gravement la ville, mais à la Renaissance. Il est vrai que de 1550 à 1643 – une centaine d’année – plusieurs milliers de lyonnais meurent de cette terrible maladie – la moitié de la population de Lyon disparait.

Après avoir compté sur la Faculté de médecine et en désespoir de cause, le 12 mars 1643, l’équivalant de notre maire d’aujourd’hui, le Prévost Alexandre Mascary, entouré des adjoints au maire de l’époque : les Echevins, s’en remet à la vierge Marie :
… Nos Echevins s’engagèrent à élever deux statues de la Vierge, l’une sur la place des changes, l’autre sur la pile du pont de Saône. Enfin ils firent vœu pour eux et pour leurs successeurs, d’aller…
"toutes les fêtes de la nativité de Notre Dame qui est le huitième jour de septembre, sans robe, néanmoins avec leurs habits habituels, en la chapelle de Fourvière pour ouïr la messe, y faire les prières et les dévotions à la dite Vierge et lui offrir en forme d’hommage et reconnaissance, la quantité de sept livres de cire blanche en cierges et flambeaux et un écu d’or au soleil… et ce pour la disposer à recevoir en sa protection particulière la ville de Lyon…" (extrait du livre de Louis Jacquemin, Histoire des églises de Lyon, publié aux éditions Elie Bellier).

L’épidémie de peste s’arrête cette année là, à Lyon, alors qu’elle continue ailleurs, en France. Pour remercier la vierge de sa protection, nos Echevins assistent le jour de la nativité de Marie – le 8 septembre, à une « grand messe » et remettent ce que promis à l’évêque de Lyon, écu d’or et cire blanche. De nos jours, la tradition continue, le vœu est respecté et la pièce d’or est toujours remise à l’évêque de Lyon le jour de la naissance de la Vierge.
C’est ce Vœu des Echevins du 8 septembre qui sera confondu dans la mémoire collective avec les « Illuminations ».

Recette d’un bon lumignon


 

Nous sommes le 8 Décembre et c’est le jour des illuminations : celui des lumignons que tous les lyonnais posent le soir et qui rend si belle cette ville !

C’est un tout petit peu différent de la fête de la lumière à Lyon. Je vais vous raconter aujourd’hui quelques petites histoires à ce sujet, mais avant, je vous propose de réaliser vos lumignons afin qu’ils soient prêts à être mis sur le rebord de vos fenêtres dès 18 heures ce soir !

 

Voici la recette, vous allez voir, ce n’est pas compliqué !

Ingrédients :
Une dizaine de lumignons.
A défaut, sortez quelques bougies et cierges entamés et coupez les à l’extrémité coté mèche afin d’obtenir une petite bougie de 2cm de haut. (D’ailleurs le terme lumignon signifie à la base bout de bougie.)

Des pots de yaourt en verre (type La Laitière).
Les plus motivés les décoreront avec de la peinture.
A défaut, utilisez des verres que vous n’utilisez pas trop. La cire s’enlève facilement après coup avec de l’eau très chaude.
Attention : les verres et pots de yaourt en plastique ne conviennent pas !

Préparation :
Placez les récipients sur une grande table à proximité des fenêtres.
Placez-y les bougies et allumez-les à l’aide d’une longue allumette ou d’une bougie d’anniversaire.
Ouvrez les fenêtres et placez les lumignons ainsi constitués sur les rebords en les espaçant de 20cm.
Si vous en avez sous la main saupoudrez de quelques rires d’enfants émerveillés.
Fermez les fenêtres.

Cuisson :
Les Lyonnais mettent généralement les lumignons aux fenêtres en rentrant de leur travail, aux alentours de 19h.
Laissez les bougies mijoter toute la soirée jusqu’à ce qu’elles s’éteignent.
Vous pouvez sortir de chez vous pendant ce temps, ça ne craint rien (sauf si vous avez utilisez des verres en plastique).

(recette trouvée ici)

Le manelé


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Mais qu’est ce donc ? “De l’alsacien petit bonhomme, un Mannala (dans le Haut-Rhin) ou Männele (dans le Bas-Rhin) est un petit pain au lait en forme de petit bonhomme préparé par les boulangers alsaciens pour la Saint-Nicolas et qui peut accompagner le chocolat chaud du goûter des enfants. Cette brioche peut être enrichie de raisins secs ou de pépites de chocolat.

Dans le Nord de la Franche-Comté, la tradition existe aussi mais il est appelé « Jean Bonhomme ».” (Wikipédia)

En voici la recette, que m’a donné ma petite mère :

Ingrédients :

500g de farine

100g de beurre mou

80g de sucre en poudre

1 sachet de levure de boulanger

5 g de sel

200g de lait

2 oeufs et un jaune

 

Mélanger la levure avec un peu de lait tiédi 100g de farine et 40 g de sucre. Laisser monter 20 mn à température ambiante, bien à l’abri des courants d’air. Dissoudre le reste du sucre dans le reste du lait tiède. Ajouter le beurre fondu. Ajouter le levain, puis les 2 oeufs.

Mélanger à part, le reste de la farine et le sel , puis ajouter au mélange. Laisser monter 1 heure.

Sur un papier sulfurisé faire un boudin de 12 cm sur 4cm de diamètre, former une boule à l’extrémité ,la tourner, l’aplatir un peu. A l’aide d’un couteau, faire une entaille de part et d’autre en biais pour les bras, puis faire de même en bas pour les jambes,les écarter un peu.

Laisser monter les manelés 30 mn.

Mélanger le jaune d’œuf, avec un peu de lait, badigeonner avec un pinceau. Mettre soit des raisins secs , soit des pépites de chocolat, pour les yeux .

Faire cuire à 200 degrés jusqu’à ce qu’il soient bien dorés…

Régalez -vous !

PS : Pour les conserver, ne pas les mettre dans du papier d’alu mais dans une boite en métal.

Saint Nicolas


Je suis née dans l’Est de la France. Je suis Lorraine ! Le 6 décembre est un jour spécial là-bas. Il n’y a pas de Père Noël qui vient déposer des cadeaux sous le sapin. Non… Mais ils ont Saint Nicolas !

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas voulu dire, à savoir que l’Est de la France , et le Nord aussi, est comme ce village d’irréductibles gaulois qui ne se soumettent pas à l’invasion romaine ! Bien sûr que le Père Noël est arrivé jusque là-bas et qu’il dépose ses cadeaux sous le sapin !

Mais la tradition perdure dans certaines familles : c’est le 6 Décembre que Saint Nicolas vient offrir les cadeaux si les enfants ont été sages, et aussi des bonbons . Mais s’ils n’avaient pas été sages… C’est le Père Fouettard qui venait leur rendre visite !! Et lui, il donne un martinet !

Saint Nicolas a une petite place spéciale pour moi, une réminiscence de mon enfance. Je me souviens de ces petits bonshommes de pain d’épice que ma grand-mère nous offrait. Je me rappelle de ce bonhomme habillé de rouge qui descendait d’un hélicoptère à l’aide d’une échelle de corde et qui ne ressemblait pas au Père Noël… Mais pourquoi était-il habillé de rouge et avait-il une grande barbe blanche s’il n’était pas le Père Noël ?

Aujourd’hui, je sais que si le Père Noël existe, c’est parce que Saint Nicolas l’avait précédé. Mais oui, je vous l’assure ! La preuve ? Saint Nicolas s’appelle en Allemagne Niklaus. Le Père Noël en Amérique s’appelle Santa Claus. Et oui, vous avez tout compris !

 

Menus de Pâques


Voici quelques menus types qu’on peut retrouver sur nos tables le jour de Pâques :

MENU TRADITIONNEL

Apéritif : Chantilly aux œufs de saumon et son tempura d’asperges

Entrée : Brochettes de Saint-Jacques et risotto aux asperges vertes

Plat : Gigot d’agneau en croûte de sel

Dessert : Corolles croustillantes au chocolat

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MENU RAPIDE

Apéritif : Œuf de saumon sur galette de blé noir

Entrée : Asperges vertes, carpaccio de boeuf et parmesan

Plat : Côtes d’agneau au beurre de lavande

Dessert : Fondant au chocolat crémeux

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MENU ÉPICÉ

Apéritif : Gougères épicées au curry et emmental

Entrée : Velouté de potimarron aux épices douces et dés de foie gras

Plat : Agneau aux épices et yaourt et ses petits légumes

Dessert : Gratin de fruits rouges au gingembre

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MENU DU FROMAGER

Apéritif : Samoussa au fromage

Entrée : Risotto de petits pois et de champignons au Beaumont de Savoie

Plat : Côtes d’agneau et gratin de camembert

Dessert : Cheesecake aux framboises et à la brousse de brebis Lou Pérac

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MENU MÉDITERRANÉEN

Apéritif : Crostini à la crème de ricotta, tomates confites et pignons de pin

Entrée : Asperges panées au parmesan

Plat : Tourtes individuelles agneau haché, cumin, et fruits secs

Dessert : Trio de panna cotta

Recettes ICI

Chez moi, c’était plutôt traditionnel, et chez vous, qu’a-t-on trouvé sur vos tables hier à midi ?

Ps : j’ai oublié un menu important, donc pour mon amie Telavivcat :

MENU VÉGÉTARIEN

Apéritif : Velouté de concombre à l’avocat

Entrée : Salade d’endives et de haricots blancs

Plat : Oeufs de polenta, Pommes de terre «à la coque»

Dessert : Nids de Pâques

Recettes ICI

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