Je t’aimais, je t’aime, je t’aimerai…


Une des plus jolies chansons d’amour qu’il ait écrite… Sourire…

Je t’aimais, je t’aime, je t’aimerai

Mon enfant nue sur les galets
Le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet
Un diamant tombé d’un coffret
Seule la lumière pourrait
Défaire nos repères secrets
Où mes doigts pris sur tes poignets

Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
Et quoique tu fasses
L’amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l’espace
Dans le moindre rêve où tu t’attardes
L’amour comme s’il en pleuvait
Nu sur les galets

Le ciel prétend qu’il te connaît
Il est si beau c’est sûrement vrai
Lui qui ne s’approche jamais
Je l’ai vu pris dans tes filets
Le monde a tellement de regrets
Tellement de choses qu’on promet
Une seule pour laquelle je suis fait
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai
Et quoique tu fasses
L’amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l’espace
Dans le moindre rêve où tu t’attardes
L’amour comme s’il en pleuvait
Nu sur les galets

On s’envolera du même quai
Les yeux dans les mêmes reflets
Pour cette vie et celle d’après
Tu seras mon unique projet
Je m’en irai poser tes portraits
À tous les plafonds de tous les palais
Sur tous les murs que je trouverai
Et juste en dessous, j’écrirai
Que seule la lumière pourrait…
Et mes doigts pris sur tes poignets
Je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai

Francis Cabrel
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Mon premier et mon seul amour


Ce soir –cet après-midi pour nos amis du Canada- j’ai envie de douceur, d’émotion, j’ai envie qu’on me parle d’amour, qu’on me joue du piano, qu’on me chante quelques mots…

Et j’ai trouvé… C’est Chris Eden, ce nom vous dit quelque chose ? Les filles, il chante à merveille, et si je vous dis G Squad, et si je vous dis que c’est le chanteur de ce groupe… Alors, maintenant ça vous dit quelque chose ? Non, s’il vous plait, pas d’a priori sur les “boys band” des années 80, écoutez, vous verrez, c’est un vrai chanteur… Et c’est juste… beau…

s’il suffisait d’aimer


Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l’imagine habitant mon décor
J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j’offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps
Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant

S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité

J’ai du sang dans mes songes, une pétale séché
Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin d’enfance, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j’entends battre tous les cœurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?

S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité

Aimé est plus fort qu’être aimé


Toi qui sais ce qu’est un rempart
Tu avances sous les regards
Courroucés
Tu écris mais sur le buvard
Tous les mots se sont inversés

Si tu parles il te faut savoir
Que ceux qui lancent des regards
Courroucés
Ne voudront voir dans leur miroir
Que ce qui peut les arranger

Toi qui as brisé la glace
Sais que rien ne remplace
La vérité
Et qu’il n’y a que deux races
Ou les faux ou les vrais

L’amour
Te porte dans tes efforts
L’amour
De tout délie les secrets
Oh -et face à tous ceux qui te dévorent
Aimer est plus fort que d’être aimé

Toi qui sais ce qu’est le blasphème
On ne récolte pas toujours
Ce qu’on sème
Tu connais l’ambition suprême
De ceux qui te vouent de la haine

Ils voudraient sous la menace
Te fondre dans la masse
Pour t’étouffer
Mais pour couler le brise-glace
Il faudrait un rocher

Ohhh.. l’amour…

Daniel Balavoine

Nolwenn Leroy–Aimer est plus fort que d’être aimé

Je Reste


Tombée du nid
J’atterris dans tes bras,
Tombée du lit
Quand tu n’veux plus de moi
Tu promets, tu jures
Tu fais le serment parfois
Mais de moins en moins sûre
Quand l’anneau glisse de ton doigt

Je reste à la lisière de toi,
Tu restes à l’orée de moi,
Quand on s’approche, on s’abîme, on se déchire tout bas,
Ça a le goût d’une histoire, mais …
Mais c’est bien plus que ça,
Quand on se donne on se livre,
On se dessine tout bas,
On se dessine tout bas.

Plonger ensemble
Enroulés dans nos draps
Tout se mélange
Le septième ciel et l’orage
Je promets je jure,
Je fais le serment parfois,
Mais de moins en moins sûre
Quand l’anneau brûle mon doigt

Je reste à la lisière de toi,
Tu restes à l’orée de moi,
Quand on s’approche, on s’abîme, on se déchire tout bas,
Ça a le goût d’une histoire, mais …
Mais c’est bien plus que ça,
Quand on se donne on se livre,
On se dessine tout bas
Je reste….
On se dessine tout bas
On se déchire.

Amel Bent, Karl E-Landler, Je reste

Où te caches-tu ? Reviens !


Dis-moi où chercher ? Dis-moi où t’aimer ?

Reviens… de tes combats perdus d’avance … qui t’ont retenu si loin de moi

Mais où te caches-tu ? Dans quel monde oublié ?

Garou, Reviens (où te caches-tu ?)

Je voudrais te connaître
Ouvrir un peu la fenêtre
De ton cœur et de ta vie
Tout ce que tu m’interdis
Je voudrais te savoir
Quelques instants et plus tard
Te laisser le goût de moi
Pour que tu n’oublies pas
Je voudrais me glisser
Dans ton âme et te guider
Te faire trouver le chemin
De ma peau, de mes mains

Mais….
Où, où te caches-tu ?
Dans quel monde oublié
Dis-moi où chercher
Mais où, où te caches-tu ?
Qu’est-ce qui t’a éloigné ?
Dis-moi où t’aimer

Je voudrais te connaître
Mieux que toi-même peut-être
Te montrer des bouts de toi
Que tu ne connais pas
Je voudrais cette chance
De te montrer l’évidence
Le sens unique à tes pas
Pour qu’ils te ramènent à moi
Mais …

Reviens de tes silences
Reviens de tes combats perdus d’avance
Oublie ces chaînes invisibles et immenses
Qui t’ont retenu si loin de moi

Où, où te caches-tu ?
Où t’es-tu égaré ?
Je vais te trouver
Où, où te caches-tu ?
Qu’est-ce qui t’a éloigné ?
Dis-moi où t’aimer
Reviens…

Et si tu n’existais pas…


Et si tu n’existais pas, j’inventerai le moyen de te créer pour connaître avec toi, avec chacun de vous, ce lien privilégié…

Et si tu n’existais pas, je me sentirai perdue, j’aurai besoin de toi…

Belle et douce soirée, ami blogonaute comme ami du net, du réel !

Joe Dassin, Et si tu n’existais pas

Et si tu n’existais pas,
Dis-moi pourquoi j’existerais.
Pour traîner dans un monde sans toi,
Sans espoir et sans regrets.
Et si tu n’existais pas,
J’essaierais d’inventer l’amour,
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour.
Et qui n’en revient pas.
Et si tu n’existais pas,
Dis-moi pour qui j’existerais.
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n’aimerais jamais.
Et si tu n’existais pas,
Je ne serais qu’un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu,
J’aurais besoin de toi.
Et si tu n’existais pas,
Dis-moi comment j’existerais.
Je pourrais faire semblant d’être moi,
Mais je ne serais pas vrai.
Et si tu n’existais pas,
Je crois que je l’aurais trouvé,
Le secret de la vie, le pourquoi,
Simplement pour te créer
Et pour te regarder.

Joe Dassin

Sache que je…


Avant de nous quitter ce soir, je voudrais dire que je…

Jean Jacques Goldman, Sache que je…

 

Il y a des ombres dans " je t’aime "
Pas que de l’amour, pas que ça
Des traces de temps qui traînent
Y’a du contrat dans ces mots-là
Tu dis “l’amour a son langage”
Et moi “les mots ne servent à rien”
S’il te faut des phrases en otage
Comme un sceau sur un parchemin

Alors sache que je
Sache-le
Sache que je

Il y a mourir dans " je t’aime "
Il y a “je ne vois plus que toi”
Mourir au monde, à ses poèmes
Ne plus lire que ses rimes à soi
Un malhonnête stratagème
Ces mots là n’affirment pas
Il y a une question dans " je t’aime "
Qui demande " et m’aimes-tu, toi ? "

Alors sache que je
Sache-le
Sache que je

Une des plus belles chansons d’amour


Oui, pour moi, c’est une des plus belles chansons d’amour qui existent. Encore une séquence souvenir, un très beau moment…

 

With or without you, U2

Besoin de rien Envie de toi


Petit moment souvenir de mon adolescence…

Lui:
Regarde, le jour se lève
Dans la tendresse sur la ville

Elle:
Tu me fais vivre
Comme dans un rêve
Tout ce que j’aime

Ensemble:
Besoin de rien, envie de toi
Comme jamais envie de personne
Tu vois le jour
C’est à l’amour qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi
Comme le rouge aime l’automne
Tu sais l’amour
C’est à Vérone qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi
Envie de toi

Elle:
J’aime, quand tu m’enlaces
Quand tu m’embrasses
Je suis si bien

Lui:
Premier, matin caresse
Matin tendresse
Tu es si belle

Elle:
Le jour se lève
Ensemble:
Nous on s’aime

Besoin de rien, envie de toi
Comme jamais envie de personne
Tu vois le jour
C’est à l’amour qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi
Comme le rouge aime l’automne
Tu sais l’amour
C’est à Vérone qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi, envie de toi
Besoin de rien, envie de toi
Comme jamais envie de personne
Tu vois le jour
C’est à l’amour qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi
Comme le rouge aime l’automne
Tu sais l’amour
C’est à Vérone qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi
Envie de toi

Peter et Sloane–Besoin de rien Envie de toi

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