Quelques idées de crêpes…


Banane-chocolat ?

Fraises-chantilly ?

Sucre ?

Fruits rouges ?

Aux fruits ?

En gâteau de crêpes ?

A la confiture ?

En aumônière et chocolat ?

Aux agrumes ?

Je n’ai plus qu’un mot à vous dire : régalez-vous avant qu’un petit gourmand ne passe par là !!

Bonne Chandeleur !

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Banh Xeo et Tortilla


Il y a aussi la Banh Xeo, ou crêpe asiatique – crêpe chinoise pour les uns, vietnamienne pour les autres. De couleur blanche ou jaune selon la farine qui la compose, cette crêpe se mange tout le long du Mékong. En fonction de la région traversée, elle sera fourrée de viande ou de poisson, de crevettes ou légumes… 

Très populaire en Inde, servi pour accompagner le curry ou encore les différents chutneys qui accommodent le plat de viande ou de poisson, le Dosa, est à base de farine de lentille ou de pois chiches. Cette galette se mange avec les plats salés, tout comme l’injera, en Afrique orientale.

L’injera, est une une galette à base de farine de mil, qui se retrouve principalement en Ethiopie, mais également en Erythrée, Somalie, Kenya et encore au Soudan. Elle remplace complètement le pain de nos tables occidentales.

L’équivalent de nos galettes en Amérique du Sud est la tortilla, galette sèche à base de farine de maïs. Elément de base dans la cuisine mexicaine et guatémaltèque depuis des milliers d’années, elles ont été baptisées ainsi par les conquistadors espagnols – leur forme leur rappelait celle de la tortilla (omelette espagnole). La tortilla sud-américaine, se mange en aussi en remplacement du pain, mais entre également dans la composition de nombreux plats, tacos, quesadillas, enchiladas…

Baghrir et blini en orient


Dans la famille des crêpes à trous, la reine est incontestablement la crêpe à 1000 trous, ou baghrir, originaire d’Afrique du Nord, on la retrouve au Maroc, en Algérie et en Tunisie. Cette crêpe se déguste surtout l’après-midi mais aussi le matin, au réveil. Il n’y a rien de tel, à mon goût, que de manger pour le 4-heures une baghrir chaude, obligatoirement ! Avec du beurre et du miel, et indispensable, un thé à la menthe ! A ce moment précis, vous pouvez fermer les yeux, vous êtes au milieu de coussins pourpres, rouge et or et vous entendez Souad Massi chanter pour vous !

La Russie ayant subi des influences musulmanes, au 16ème siècle, certains historiens relient la crêpe marocaine au blini russe… mais on retrouve en Europe de l’Est, avant l’ère pré-chrétienne, dotée d’une symbolique forte, celle du soleil. La tradition, toujours célébrée de nos jours, veut que l’on prépare des blinis à la fin de l’hiver, pour glorifier le soleil. Les blinis étaient aussi servis lors des veillées funèbres, pour commémorer les morts. Les blinis se mangent nature – dans ce cas, la pâte est enrichie de pommes de terre râpées, de pommes ou de raisins pour une version plus sucrée – ou garnis d’ingrédients variés, lard et/ou saumon, par exemple.

Pancakes et Crumpets chez les Anglo-saxons


 

Dans la grande famille des crêpes, je vous présente le pancake, la star des breakfast américains. Issu de l’immigration allemande du 18ème siècle, les pancakes se mangent traditionnellement accompagnés de sirop d’érable, mais comme pour les crêpes toutes les variantes sont possibles… aux myrtilles, aux bananes… et la version salée, en accompagnement de bacon et ou d’œufs pour les amateurs de variantes salées.

On retrouve également la trace d’un pannenkoeken aux Pays-bas et un pannekoek en Afrique du sud – cette dernière recette fait évidemment plus partie du patrimoine culinaire des Afrikaanders que des natifs. Plus large et plus fines que les pancakes, ces derniers ne contiennent pas d’agent levant et ressemblent plus à la galette bretonne (sans la farine de sarrazin).

En Angleterre, se sont les crumpets qui se dégustent pour le petit-déjeuner. A Londres, un plaisir est d’aller prendre un  breakfast dans un petit coffee-shop, scramble eggs, black coffee & crumpets, accompagnés tout simplement de beurre… Les crumpets font partie de la famille des crêpes à trous – elles ne cuisent que d’un côté, comme les pancakes, et contrairement à la crêpe, on y trouve un agent levant.

Chandeleur


Chandeleur ou  la fête des chandelles

Pour célébrer la présentation de l’enfant Jésus au temple, 40 jours après sa naissance, la coutume voulait que des cierges soit allumés. Coïncidant avec la période de reprise des travaux dans les champs, au sortir de l’hiver, cette fête, devenue chandeleur était aussi l’occasion de préparer des plats associés au soleil, pour attirer la bienveillance divine sur les prochaines récoltes. Synonymes d’abondance, donc de richesses, par leur forme, et leur couleur, les crêpes évoquent le soleil, de fait les récoltes.

Les superstitions liées à cette symbolique très forte, se retrouvent dans toutes les familles françaises. Du louis d’or que l’on tient dans la main, à la première crêpe que l’on doit faire sauter au dessus de l’armoire, ou encore toucher la queue du poêle en formulant un vœu tout en faisant sauter la crêpe, tous ces rituels permettent d’assurer la prospérité pour l’année à venir.

Galette ou crêpe ?


Et la galette resta salée et la crêpe sucrée.

Des ronds de pâte… à faire cuire sur une plaque, poêle ou galétoire en fonte, à déguster nature… ou pas, roulée… ou pas, pliée… ou pas. Cette préparation à base de farine, beurre, œufs et lait est universelle.

A l’origine de la crêpe, est la galette. Née il y a plus de 5000 ans, d’un mélange de farine (de froment, de riz, de maïs…) et d’eau, la galette se retrouve dans toutes les civilisations anciennes.

Crapiau dans le Morvan, panisses en Provence, bourriole en Auvergne, tourtou dans le Limousin… chaque région française possède sa spécialité de crêpe, et chaque famille bretonne sa recette !

La Bretagne reste en effet la région emblématique de ce que nous appelons maintenant galette.

Issue de la farine de Sarrazin, céréale rapportée d’Asie par les croisés, et qui s’adapta tout de suite à cette terre bretonne, la galette fut l’aliment de base des Bretons pendant des siècles. Le développement de cette céréale en Bretagne s’explique en partie par sa non-soumission à l’impôt, contrairement à la farine de froment.

Nature au départ, la galette de sarrasin fut bientôt agrémentée en beurre salé, saucisse et œufs. Lors des fêtes et des mariages, il devint très courant de faire appel à des « crépières » qui préparaient les « échées », les piles de galettes ; pour le dessert, elles prenaient le reste de pâte, y cassaient des œufs, les enrichissaient de cannelle ou fleur d’oranger… la galette se transforma ainsi en crêpe.

Demain la Chandeleur ? Yes !


Hey ! Demain, c’est la Chandeleur ! Yes, le jour des crêpes !!

Miam, miam… Ne me dites pas que vous n’êtes pas gourmand et que vous n’allez pas en faire vous aussi ? Je ne pourrai pas vous croire !

Ah, c’est que vous ne savez pas les faire ? Cherchez sur les différents sites… Allez, vite, je cherche dans mon cahier de recettes celle de la pâte à crêpes ! Dès que je l’ai retrouvée, je vous la donne !

A tout à l’heure !

Galette ou crêpe ?


Et la galette resta salée et la crêpe sucrée.

Des ronds de pâte… à faire cuire sur une plaque, poêle ou galétoire en fonte, à déguster nature… ou pas, roulée… ou pas, pliée… ou pas. Cette préparation à base de farine, beurre, œufs et lait est universelle.

A l’origine de la crêpe, est la galette. Née il y a plus de 5000 ans, d’un mélange de farine (de froment, de riz, de maïs…) et d’eau, la galette se retrouve dans toutes les civilisations anciennes.

Crapiau dans le Morvan, panisses en Provence, bourriole en Auvergne, tourtou dans le Limousin… chaque région française possède sa spécialité de crêpe, et chaque famille bretonne sa recette !

La Bretagne reste en effet la région emblématique de ce que nous appelons maintenant galette.

Issue de la farine de Sarrazin, céréale rapportée d’Asie par les croisés, et qui s’adapta tout de suite à cette terre bretonne, la galette fut l’aliment de base des Bretons pendant des siècles. Le développement de cette céréale en Bretagne s’explique en partie par sa non-soumission à l’impôt, contrairement à la farine de froment.

Nature au départ, la galette de sarrasin fut bientôt agrémentée en beurre salé, saucisse et œufs. Lors des fêtes et des mariages, il devint très courant de faire appel à des « crépières » qui préparaient les « échées », les piles de galettes ; pour le dessert, elles prenaient le reste de pâte, y cassaient des œufs, les enrichissaient de cannelle ou fleur d’oranger… la galette se transforma ainsi en crêpe.

D’où vient la Chandeleur ?


Aujourd’hui, on connaît surtout la Chandeleur en tant que jour des crêpes. On raconte que c’est ce même pape Gélase Ier qui faisait distribuer des crêpes aux pèlerins qui arrivaient à Rome.

On dit aussi que les crêpes, par leur forme ronde et dorée, rappellent le disque solaire, évoquant le retour du printemps après l’hiver sombre et froid.

(Source Wikipédia)

La Chandeleur, autrefois "Chandeleuse", se fête le 2 février, soit 40 jours après Noël. Son nom vient du mot "chandelle".

A l’origine, à l’époque des Romains, il s’agissait d’une fête en l’honneur du dieu Pan. Toute la nuit, les croyants parcouraient les rues de Rome en agitant des flambeaux. En 472, le pape Gélase 1er décide de christianiser cette fête qui deviendra la célébration de la présentation de Jésus au temple. On organise alors des processions aux chandelles le jour de la Chandeleur, selon une technique précise. Chaque croyant doit récupérer un cierge à l’église et le ramener chez lui en faisant bien attention à le garder allumé. Un dicton de Franche-Comté dit d’ailleurs :

Celui qui la rapporte chez lui allumée
Pour sûr ne mourra pas dans l’année

Ce cierge béni est censé avoir d’autres pouvoirs. On dit que quelques gouttes de sa cire versée sur des œufs à couver en assurent une bonne éclosion. Et aussi que sa flamme protège de la foudre si on l’allume pendant l’orage.

Entre temps, une autre tradition a vu le jour : celle des crêpes.

Cette tradition se rapporte à un mythe lointain selon lequel si on ne faisait pas de crêpes le jour de la chandeleur, le blé serait carié pour l’année. On dit d’ailleurs :

Si point ne veut de blé charbonneux
Mange des crêpes à la Chandeleur

D’ailleurs, en faisant les crêpes, il faut respecter une autre coutume, celle de la pièce d’or. En effet, les paysans faisaient sauter la première crêpe avec la main droite tout en tenant une pièce d’or dans la main gauche. Ensuite, la pièce d’or était enroulée dans la crêpe avant d’être portée en procession par toute la famille jusque dans la chambre où on la déposait en haut de l’armoire jusqu’à l’année suivante. On récupérait alors les débris de la crêpe de l’an passé pour donner la pièce d’or au premier pauvre venu.
Si tous ces rites étaient respectés, la famille était assurée d’avoir de l’argent toute l’année.

Celui qui retourne sa crêpe avec adresse, qui ne la laisse pas tomber à terre ou qui ne la rattrape pas sous la forme navrante de quelque linge fripé,celui-là aura du bonheur jusqu’à la Chandeleur prochaine.

Aujourd’hui, les processions aux chandelles et autres rites n’existent plus mais on a conservé la tradition des crêpes et on a bien raison, car qu’est-ce que c’est bon !

Enfin, n’oublions pas les croyances liées à la météo. En de nombreux pays, on croit que le jour de la Chandeleur, un ours sort de sa tanière. Si la température est douce et qu’il voit le soleil, il retourne vite reprendre son hibernation, car il sait que le beau temps ne durera pas. Un proverbe dans le Calendrier des bons laboureurs en 1628 disait :

Si fait beau et luit Chandeleur
Six semaines se cache l’ours

Un autre proverbe français dit :

Si le deuxième de février
Le soleil apparaît entier
L’ours étonné de sa lumière
Se va mettre en sa tanière
Et l’homme ménager prend soin
De faire resserrer son foin
Car l’hiver tout ainsi que l’ours
Séjourne encore quarante jours

Dans d’autres pays c’est la marmotte qui sort. Si elle voit son ombre, cela signifie qu’il y a du soleil, alors elle retourne vite continuer à hiberner car elle sait que l’hiver va encore durer. En effet :

Soleil de la Chandeleur
Annonce hiver et malheur

 

"A la Chandeleur, L’hiver s’apaise ou reprend vigueur"…

Mais quoi qu’il arrive : qu’en ce 2 février il fasse beau, froid, pluvieux ou neigeux, n’hésitez surtout pas à confectionner quelques crêpes !
En dépit des proverbes et dictons, vous passerez un agréable moment autant à les faire qu’à les déguster !!

(Source : lesmômes.net)

Aujourd’hui, c’est la Chandeleur !


 

Et oui, aujourd’hui, c’est la chandeleur ! Le jour des crêpes faite maison… Miam, un pur délice !!

Une petite recette, ça vous dit ?

Ingrédients pour Pâte à crêpes sucrée

  • 250 g de farine
  • 3 oeufs
  • 50 cl de lait demi-écrémé
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 2 c. à soupe de rhum

Dans un saladier, versez la farine. Ajoutez progressivement le lait en remuant.

Dans un bol, fouettez les œufs avec le sucre puis ajoutez le tout au saladier. Mélangez.

Ajoutez le rhum et fouettez de nouveau.

Laissez reposer 1 heure à température ambiante.

Faites cuire vos crêpes dans une crêpière.

Petites astuces prise chez cuisineAZ pour les crêpes sucrées :

> Pour éviter les grumeaux, faites chauffer quelques instants le lait avant de l’ajouter à la préparation.
> Si jamais votre pâte est trop liquide, il vous suffit de rajouter un œuf ou tout simplement un peu de farine (versez en petites quantités).
> Si vous voulez varier les plaisirs et le goût de vos crêpes, remplacez le lait (même quantité) par un yaourt aux fruits (banane, fraises, framboises…) ; l’effet sera plus que remarquable.
>N’oubliez pas de laisser reposer votre pâte ; vous pouvez la garder dans une bouteille au frais et au moment de la sortir, il vous suffira juste de la secouer.

 

Il ne reste plus qu’à déguster votre œuvre…

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