le jeu de l’amour … on y croit ?



L'empereurLe matLe soleilL'étoile

Contexte : Vous
Carte : L’empereur

Ne rêvant plus que de stabilité, de confort, et de sécurité, vous désirez faire fructifier vos acquis et garder le contrôle de vos sentiments. Tomber dans l’inconnu et être le jouet de passions éphémères et négatives, tout ça est bien fini! Mais ne craignez-vous pas de vous ennuyer un peu dans ce monde parfait?

Contexte : Autour de vous
Carte : Le mat

Votre volonté de ne plus brader vos sentiments et de concentrer toute votre énergie à accomplir ce qui a vraiment du sens, ne fera pas que des heureux. Il y aura des changements de cap brutaux mais vous aurez gagné la satisfaction inestimable de vous écouter enfin vous-même. Il était temps, n’est-ce pas?

Contexte : Perspectives
Carte : Le soleil

Vous être le centre d’un cosmos amoureux où brillent l’enthousiasme et la joie, l’accomplissement personnel et le don de soi-même. Cette alchimie rayonnante et subtile vous porte vers de nouvelles conquêtes, et à sublimer davantage encore la nature de vos sentiments. Prenez garde malgré tout à l’inévitable narcissisme solaire.

Contexte : Synthèse
Carte : L’étoile

Harmonie, sérénité, douceur et joie sont les maîtres mots de votre futur amoureux. Quelques soient les difficultés passagères, ce sont la paix et le plaisir pur et simple, qui l’emporteront sur tout le reste. La période sera propice aux désirs de maternité et d’engagement.

 

hey !! pourquoi douter ? sourire … des choses comme ça, on a envie d’y croire non ?… mais ? si ce n’était qu’un jeu ?

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je n’oublie pas


oui je n’oublie pas, la vie est belle
mais parfois elle est difficile
et quand elle se fait rude et âpre
le moindre rayon de lumière éblouit


pour trouver en moi la force d’avancer
et le courage de continuer à espérer
il faut que la réserve ne soit pas tarie
et que de temps en temps elle soit remplie

mais tout s’enchaîne et me bascule
dans un univers trop sombre et matérialiste
quand tout s’enchaîne, tout se cumule
j’ai bien peur de n’être qu’une idéaliste

porter mon regard vers un autre horizon
quand tout autour n’est qu’un bouchon
porter mon regard vers ce qui est beau
j’ai beau faire, je ne vois plus …

je veux avoir le droit dans les moments sombres
de pouvoir dire combien grandes sont les ombres
je veux avoir le droit de craquer et de pleurer
quand tout est insupportable et vient m’arrêter

mais oui, je continue de croire
en le meilleur de la vie, en l’espoir
oui la vie reste toujours belle
même si elle se fait difficile

Dites-moi


Dites moi si c’est bien de, comme ça, continuer
A vivre au jour le jour, sans aucun repère
Se demander si ça vaut le coup de vouloir avancer
A vivre seul, au milieu de tous ses pairs

Dites moi où tout ça va me mener
Quand l’heure aura enfin tourné ?
Que me restera-t-il de cette journée
Grise qui vient encore me malmener ?

Dites moi si vous avez trouvé un chemin
Un sens même rien qu’une toute petite idée
Quelqu’un vous a-t-il tendu la main ?
Quelqu’un vous a-t-il considéré ?

Dites moi si ça vaut le coup d’essayer
De mettre un pas devant l’autre,toujours
Sans se soucier de l’heure ni du jour
Oui, dites-moi, dois-je encore essayer ?

l’heure du soir


Et c’est quand vient l’heure du soir,
Que le bleu de la journée se fait noir,
Que l’on ferme les volets de son coeur
Pour essayer d’oublier son peu de bonheur

La nuit passe mais le noir trépasse
L’aube vient nous rejoindre sans casse
Et l’on se surprend à espérer de nouveau
Et à croire en des lendemains plus beaux …

ce monde là


 

ce monde là,

celui de l’amitié sincère,

celui de l’amour vrai,

tu sais, il existe toujours

 

il est juste un peu plus difficile de le découvrir,

tant il est caché par d’indéfinissables superficialités,

où la hache de guerre fait office de calumet de la paix

 

mais si tu passes au delà de cette frontière,

tu redécouvres avec ravissement

et avec un vrai bonheur

tout ce que tu cherchais

 

et finalement,

c’était juste là, devant tes yeux …

caché par un faux brouillard …

 

Ose …


cactus en fleur

Ose la Vie …

Ose prendre la Vie à bras le coeur

Ose épouser la Vie

Ose garder courage quand la Vie se fait plus rude

 

Ose garder espoir quand la Vie se fait épreuve

Ose vivre la Vie sans avoir peur

C’est tellement beau la Vie

C’est tellement précieux la Vie …

un samedi pas comme les autres …



coucou les zamis !!

et bien voilà, j’étais partie … en voiture … emmener mon fils en vacances.
jusque là, tout va bien me direz vous, sourire
j’arrive à la RN 10, je m’élance enfin titine (une saxo) s’élance : c’est une portion à 2×2 voies limitées à 110 km/h,
je passe la troisième … la quatrième … et au moment de passer la cinquième… impossible, me voilà lancée à + de 90 sur une deux voies, et je reste au point mort !!!!
heureusement yavait là une sortie que j’ai pu prendre avant de m’arrêter
on a sorti nos beaux gilets oranges, pris le triangle (mais comment que ça se monte ce truc ? ça tient debout ça ????)
et on a attendu le dépanneur patiemment sur le haut côté de la route, non non pas le bas côté, fallait grimper et en haut yavait un tit chemin pour les promeneurs (d’ailleurs, on a fait connaissance avec un superbe dalmatien sourire)

et voilà notre dépanneur qui arrive : renault assistance …
un beau brun aux yeux gris  , pas très bavard mais vraiment super, hyper sympa
il a accepté de me ramener juste devant chez moi avec sa dépanneuse (et ma pov titine derrière), faut dire quand même que son garage est au bout de ma rue, mais ça n’enlève en rien son amabilité
je le remercie vivement, du fond du coeur

vous voulez avoir des news de titine ? a priori, c’est le disque d’embrayage qui est mort …
super ce mois d’octobre : le 1er changement de la grosse courroie et des freins, le 25 c’est l’embrayage pleurer
et dire qu’elle n’est même pas vieille, elle aura 6 ans dans 21 jours très précisément … soupir ….
mais là, elle sera comme neuve ..
hé, les zamis, vous croyez pas, tant que j’y suis, que je demande qu’ils me changent les amortisseurs et les pneus ????

bon allez tout ça n’est pas bien grave, nous sommes sains et saufs, rendus à la maison, et fiston chéri partira lundi matin avec son chauffeur qui viendra demain à la maison
elle est pas belle la vie ????
sourire

bien belle soirée à tous
bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

bon week end !!


garfield

Soeur Emmanuelle


La «chiffonnière» du Caire

soeuremmanuelle3

«Si tu veux vivre, tu dois aimer.»

 

«J’attends de Dieu qu’Il me donne l’humilité
pour accepter ce qui ne peut être changé,
le courage pour changer ce qui peut l’être,
et la sagesse pour distinguer l’un de l’autre.»

 

«Partout et toujours, cherche sans te lasser le remède qui soulage, sème l’espoir : ça vivifie et ton amour peut faire des miracles.»

 

«On ne possède pas le bonheur comme une acquisition définitive. Il s’agit à chaque instant de faire jaillir une étincelle de joie. Ne l’oublions pas : "Souris au monde et le monde te sourira."»

soeuremmanuelle

 

En 1980, soeur Emmanuelle fonde Asmae – association sœur Emmanuelle. Cette organisation non gouvernementale, laïque et apolitique propose des programmes d’éducation et de santé aux plus démunis. Plus de 70 000 personnes ont aujourd’hui bénéficié de son soutien à travers le monde.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur

 http://www.asmae.fr/

 

 

SOEUR EMMANUELLE – LE COEUR ET L’ESPRIT
Face à la caméra d’Elisabeth Kapnist, soeur Emmanuelle se raconte et dit tout de son engagement auprès des plus pauvres, notamment dans les bidonvilles du Caire. De la petite fille meurtrie par la mort de son père à l’adolescente qui ne pensait qu’à s’amuser, puis à la religieuse qui dresse aujourd’hui le bilan de son existence, ce film intimiste brosse le portrait d’une femme transcendée par son amour pour Dieu.

Soeur Emmanuelle"Si, sur la Terre, tous les hommes étaient riches ou tous les hommes étaient pauvres, il n’y aurait pas d’objet de révolte. Mais ce qui est contraire à l’être humain, c’est que les uns sont parfois d’une richesse incroyable et que les autres n’ont rien. Ça, ce n’est pas possible. Il y a là quelque chose qui, en soi-même, appelle à la révolte.

La vie est un risque. Si tu n’as pas risqué, tu n’as pas vécu. Ce n’est pas possible. (…) Dans ma vie, j’ai toujourschoisi le risque, et c’était passionnant. Parce que le risque vous lance. Et vous permet, et vous demande le combat.
Ma mère était une jeune femme de 30 ans quand mon père s’est noyé, sous mes yeux. Moi, je n’avais pas encore 6 ans. Ça m’a fait un choc. Je pleurais tout le temps après. Mais j’ai vécu dans une famille sereine, gaie. Ma mère était très gaie. On était bien chez nous. On était heureux.

Quand j’étais jeune, je ne pensais qu’à m’amuser, qu’à danser, qu’à aller au cinéma, au théâtre… J’aimais beaucoup voyager. J’habitais Bruxelles, j’allais à Paris chez mes tantes. Je m’amusais, j’allais danser. Et après ? Et après, il y avait le trou. Je n’arrivais pas à combler ce trou. Or, il y avait une partie de moi-même (…) avec un désir éperdu de sauver, d’aider, de remettre sur pied. Et, d’autre part, un désir éperdu de m’amuser sans m’occuper de personne que de moi-même. Il fallait se décider entre les deux. Heureusement, j’ai prié et j’ai dit : "Seigneur, aide-moi. Moi, je ne m’en sors pas." (…) J’ai appelé et j’ai eu le courage un beau jour de dire : "Je m’en vais !" Je m’en vais vers quoi ? Je ne savais pas encore, mais j’étais vers l’autre.

Qu’est-ce que ça veut dire de vivre dans un bidonville, au milieu de la saleté, des cochons noirs, des chiens sauvages, des puces, des cafards qui courent partout ? Puisque eux le supportaient, moi je devais le supporter.Je ne suis pas meilleure qu’eux. C’est ça que je voulais d’abord faire : leur faire comprendre que j’étais leur soeur. Donc, je n’allais pas arriver le matin et puis, "Bye bye !", m’en aller le soir dans une maison beaucoup plus confortable. Il fallait qu’ils sentent qu’ils étaient des hommes, qu’ils avaient une dignité très grande – c’étaient des fils de Dieu -, et que si moi je venais partager leur vie, c’était que leur vie avait sa valeur.

(Chez les chiffonniers) j’ai beaucoup appris le jour où je me suis arrêtée. Je me suis dit : "Emmanuelle, tu es mal partie ! Tu arrives triomphante, tu veux apporter toutes tes richesses à toi, mais, mon Dieu ! ils en ont tout autant, peut-être même plus que toi, mais dans un autre genre."
Aujourd’hui que je vis loin des bidonvilles, je m’interroge. Qu’est-ce qui, là-bas, pouvait expliquer cet incroyable sentiment de bonheur qui m’animait ? Je crois que c’était le fait d’avoir rompu avec toute espèce de privilège.

– Est-ce qu’on comprend un problème comme la faim ?
– Non, on ne comprend pas. On ne peut pas comprendre. Quand on a trop, on ne peut pas comprendre ceux qui ont moins. Ce n’est pas possible parce qu’on est comblé. On est trop comblé.

Soeur EmmanuelleLa prière, c’est ça : un coeur à coeur, finalement. C’est quelque chose qu’on ne peut pas décrire parce que c’est au plus intime du plus intime du plus profond de l’être humain, de son identité propre. C’est comme une aspiration. J’aspire le Seigneur, j’aspire Son amour, j’aspire Sa bonté, j’aspire Son indulgence. Je Le respire et, finalement, je n’ai plus qu’à L’expirer. Et ça donne à la vie quelque chose d’extraordinaire.

– Qu’est-ce que c’est, l’éternité ?
– Allez demander ça à Dieu plutôt qu’à moi ! Pour moi, l’éternité, c’est s’enfoncer de plus en plus dans un abîme d’amour. Y pénétrer toujours davantage, et comme c’est un abîme infini, l’éternité ne suffira pas pour pénétrer toujours un peu plus dans la vision de Dieu.

(Durée : 52′ ; Auteure-réalisatrice : Elisabeth Kapnist ; Production : France 5 / Les Bons clients / INA
Année : 2007)

soeur emmanuelle

sur le chemin des écoliers …


 

Nous voilà partis sur le chemin des écoliers, pas trop envie de rentrer à la maison, soupir … sourire !

Et voilà la première chose que nous trouvons, dans une petite ville qui côtoie Angoulême : La Couronne, un lavoir (?) et un petit ruisseau

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On avance encore un peu, et juste à côté, après un virage … une ruine !!! impressionnante de majesté, malgré ses amputations… 

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C’était une abbatiale … Quel dommage de la voir dans cet état là !

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Et le pire, dans sa déchéance, on l’a même taguée .. mais là, je n’ai pas de photo à vous montrer.

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Les bâtiments appartiennent à une cimenterie, si j’ai bien compris (?), en tout cas la maison juste à côté qui touche l’abbatiale est en cours de rénovation et sert pour toutes manifestations culturelles :

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et là, sur ce qui a dû être le parvis, au milieu des gravillons, comme pour nous dire : "gardez espoir, rien n’est jamais perdu …."

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Vous excuserez la qualité des photos, je les ai encore prises avec mon téléphone, et oui, quand est ce que je vais penser à acheter des piles pour mon appareil photo ??? rires

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