la dernière journée


Et bien voilà, c’est déjà la dernière journée de l’an 2014 ! C’est incroyable comme ça a passé vite ! Je ne sais pas si vos vœux de début d’année se sont réalisés, peut-être certains ? Peut-être même avez-vous réalisé un de vos rêves ? Peut-être rien de tout cela aussi…

L’année est en train d’écrire ses derniers mots, ses dernières ponctuations avant de se fermer à tout jamais. Mais ce n’est pas pour rien. Tout ce qui s’est passé cette année a fait de nous la personne que nous sommes. Elle nous a enrichi, nous a rendu plus fort à travers les moments difficiles que nous avons vécu, nous a fait rire et aimer…

Aujourd’hui c’est la dernière page et j’avais envie de remercier 2014 pour tout ce qu’elle m’a apporté, en force comme en faiblesse, les rencontres faites, le chemin parcouru… Je suis heureuse d’avoir traversé ce temps-là et d’être arrivée au bout. Sourire

Je voulais aussi vous remercier d’avoir été fidèle, même si les problèmes techniques m’ont empêché de vous écrire pendant plus de deux mois, car quand j’ai pu revenir, vous étiez toujours là !

Merci pour vos visites, vos commentaires, pour votre présence qui rend vivant ce blog ! Merci pour tous ces échanges et ces partages au fil des jours qui témoignent de votre amitié !

Merci du fond du coeur !

smiley marguerite

photos trouvées sur le net

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Si tu veux, tu peux !


Si tu veux, tu peux ! Qui n’a jamais entendu cette phrase ? Qui ne s’est pas posé des questions sur la santé mentale de la personne qui nous le disait ?

Sourire

Mais pourtant, si vous êtes convaincu qu’avoir ce que vous désirez est quelque chose de bien pour vous, pour votre vie, ne vous donneriez vous pas toute la peine nécessaire pour l’obtenir ? Même s’il faut du temps, de l’énergie, ou bien d’autres choses encore…

Nous arrivons au moment de l’année où nous allons nous souhaiter mutuellement de merveilleuses choses. Pourquoi ne pas commencer par nous-même ?

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Je veux…


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2014 en révision


Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2014 de ce blog.

En voici un extrait :

Le Concert Hall de l’Opéra de Sydney peut contenir 2 700 personnes. Ce blog a été vu 57 000 fois en 2014. S’il était un concert à l’Opéra de Sydney, il faudrait environ 21 spectacles pour accueillir tout le monde.

Cliquez ici pour voir le rapport complet.

Les rêves


plonger dans l’infini bleutée de la nuit,

et habituer ses yeux à l’obscurité,

s’ouvrir à la majesté d’un ciel étoilé d’été,

s’abandonner à des rêves aujourd’hui.

 

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La nuit


« Tâchez de vous laisser porter par la nuit de temps en temps, de regarder les étoiles et de tenter de vous enivrer de la sensation d’infini. La nuit, avec tous ses sortilèges, est aussi un chemin vers l’illumination. De même qu’au fond du puits sombre il y a l’eau qui étanche la soif, la nuit, dont le mystère nous rapproche de Dieu, porte cachée dans ses ombres la flamme capable d’allumer nos âmes. »

Paulo Coelho, Adultère

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Les abeilles ont besoin de votre signature


Avec la permission de Maître Renard, je reblogue cet article. Que ferons-nous quand il n’y aura plus d’abeilles ?

Maître Renard

images-167 Seulement 303 000 personnes ont signé cette pétition… c’est bien dommage !Même si d’autres circulent…La question est de savoir ce que l’on veut  Dire plus tard ànos enfants je le savais jen avais entendu parlerOu dire « J’ai signé la pétition avec des milliers de personnes ! Et je l’ai transmise à tous mes amis ! Et les gouvernements ont fini par agir ! »images-169   Pourquoi les abeilles disparaissent  Madame, Monsieur,  Je vous invite à regarder cette vidéo que nous venons d’enregistrer, avec l’équipe de Pollinis. Je vous y explique comment les abeilles disparaissent, à qui la faute, et comment nous pouvons agir pour arrêter l’hécatombe.  Pour voir la vidéo, cliquer ici    http://actions.pollinis.org/actions/stop-neonics-fr/  Merci de transférer cet email à vos contacts : personne ne doit ignorer ce qui se trame en ce…

Voir l’article original 27 mots de plus

Joyeux Noël !


Joyeux Noël à chacun d’entre vous !

Que ce Noël vous apporte la Paix et l’Harmonie tout au long de la journée et qu’elles soient présentes pour chaque jour à venir !

Que ce Noël soit un moment de trêve, de douceur et de sérénité au milieu de ce monde si dur !

Que l’émerveillement soit au rendez-vous pour que vous puissiez voir le monde avec des yeux d’enfant, vos yeux de l’enfant qui est à l’intérieur de vous !

Que ce Noël soit un moment de Partage et de Chaleur dans la Confiance et la Joie mutuelles !

 

Que mille étincelles d’enthousiasme fassent de cette journée un souvenir précieux, un trésor pour votre coeur !

Que Noël soit cet esprit vibrant d’amour vrai qui nous accompagne à chaque instant de notre vie !

Merveilleux Noël à chacun d’entre vous !

Le temps des fêtes


.

Et bien voilà, nous sommes arrivés tous ensemble au bout de ce calendrier de l’Avent 2014. J’espère qu’il vous a plu de cheminer avec moi, jour après jour, au gré de mes envies, au gré des mots que j’ai déposés à votre intention.

Nous arrivons dans le temps des fêtes, comme le temps est passé vite !

J’espère que le monde est un peu plus doux et un peu plus beau pour vous en ce moment. Mais surtout, quoiqu’il arrive, je souhaite que vous n’oubliez pas que :

Les Noëls de mon enfance


SavedPicture-2014113022943.jpgC’était un noël pas blanc, jamais blanc. La neige, je crois bien que je ne l’ai jamais vue enfant si ce n’est sur les Pyrénées lors de mes deux classes de neige.

Un Noël, c’est forcément un Noël de couleurs, oui, les Noëls de mon enfance resteront pour moi ceux de la couleur avant tout. La première qui me vient, c’est le rouge associé à l’or. Le sapin est mis dans le salon. Petite, c’est à mes parents de le monter, car il est en plastique. Parfois, ce fut un véritable sapin. Oups, pardon, un pin ! C’était la cime d’un pin, et ça sentait la forêt. Il était toujours vert. Je ne comprenais pas pourquoi on disait que ses aiguilles étaient des feuilles, parce que si c’était des feuilles, elles seraient toutes douces et elles mourraient en virevoltant, portée par le vent. Je passais et repassais devant lui, je humais cette bonne odeur. Je ne pouvais m’empêcher de le toucher, son tronc, ses aiguilles. Il me fascinait, ce pin.

« Arrête de le caresser toutes les deux minutes, tu vas finir par faire tomber toutes ses aiguilles !! ». Mais c’était plus fort que moi.

Une fois le sapin installé en bonne place, on mettait le papier « aux étoiles » à ses pieds et on y installait la crèche. Ah, la crèche… Mon père en fabriqua une avec des tasseaux et des allumettes. Nous, pendant ce temps, avions cherché de la mousse pour la mettre sur le toit, et du foin, enfin de l’herbe séchée, pour mettre sur le grenier (je ne connais pas le mot !) au-dessus des bêtes. Enfin, c’était à nous de poser les santons, l’âne et le bœuf. Les rois mages étaient loin du sapin, ils avaient de la route à faire puisqu’ils n’arriveraient qu’après Noël.

Quand la crèche était finie, on passait à la décoration du sapin : les guirlandes toutes plus scintillantes les unes que les autres, les boules, et surtout l’étoile tout en haut du sapin. C’était le plus dur, car l’étoile ne voulait pas rester bien droite quand ce n’était pas le sapin qui ployait sous son poids…

Et une année, mon père a sorti quelque chose de plutôt laid d’une boite toute neuve. Il nous a demandé d’attendre avant de décorer le sapin car il voulait mettre ce fil électrique sur les branches. J’étais très sceptique sur le bon goût de mon père, même s’il y avait des petites boules en verre sur ce fil vert, mais en fille obéissante, je l’ai regardé installer la chose.

Puis il nous a demandé d’éteindre le lustre pendant qu’il branchait la chose. Et cette chose si laide est devenue féérique, les couleurs clignotaient, le sapin s’illuminait… C’était de la magie pure !! Quel bonheur que de voir ce sapin clignoter et mettre des couleurs tout partout dans le salon !

IMG_3589

Le sapin terminé, il nous fallait attendre. Quand je rentrais de l’école, j’aimais le voir s’allumer. Il faisait vibrer la maison. L’ambiance était vraiment différente. C’était l’ambiance de Noël, c’était l’ambiance pour les enfants. J’avais l’impression que lorsque la ville comme la maison était toute illuminée, c’était parce qu’on se mettait à l’heure des enfants.

Je me souviens d’un Noël dans les Vosges particulièrement. Les Noëls vosgiens, ça voulait dire voir toute la famille, même les sœurs de Grand-Papa que je ne voyais qu’à cette occasion. Le frère de Mamie, Tonton Charlot, je le voyais chaque fois qu’on partait en vacances chez eux, mais jamais mes grandes-tantes. D’ailleurs, c’étaient des grandes femmes qui m’impressionnaient, je dois bien le dire.

Cette année là, Mamie est venue me voir en me tendant un petit bonhomme fait dans une pâte que je ne connaissais pas. Elle me dit :

« Sais-tu qui c’est ?

– Non, je ne sais pas ! Et je ne sais pas ce que c’est non plus comme gâteau !

– C’est du pain d’épices, et le bonhomme, c’est Saint Nicolas. Tu le connais ?

– Ben… Euh..

– C’est Saint Nicolas, c’est lui qui amène les jouets aux enfants bien sages. Mais s’ils n’ont pas été sages, c’est le Père Fouettard qui vient, et avec son martinet ! Au fait, as-tu fait ta lettre au Père Noël ? »

– Oui, Mamie. Tu veux la voir ? »

cher pere noel

Quand arrive le jour du 24 Décembre, l’ambiance est électrique, survoltée même. Dans la cuisine, c’est une véritable fourmilière. Des tas de bonnes odeurs arrivent à mon nez. La bûche au chocolat est un gâteau roulé avec une crème au beurre. Avec le temps, elle sera au café, parfum préféré de la famille pour certains, et il y en aura une deuxième à la vanille, pour les irréductibles, mais toujours, toujours avec un nappage au chocolat. Je mets sur la bûche des petits sapins, des scies, des champignons. J’en mets tout partout parce que j’aime en avoir sur ma part, pour avoir le plaisir de lécher les figurines. Parfois, avec une fourchette, je fais genre « c’est une vraie bûche de bois, avec de l’écorce », Maman me dit que c’est beau sûrement pour me faire plaisir !!

La dinde est mise au four, ou le chapon, selon les années, selon le nombre de convives. Enfin arrive le moment de l’ouverture des huîtres. Je regarde mon père les ouvrir, avec les hommes présents. Je regarde ces pauvres petites choses ouvertes, je les plains. Je découvre même avec horreur que c’est vivant, que ça palpite encore et que c’est comme ça qu’on va les manger… Pardon, qu’ils vont les manger, parce que ça, pour moi, ça n’est jamais passé, et ça ne passera jamais !

Arrive le moment de mettre la table. Chacun fait quelque chose : la nappe, la belle nappe blanche ou rouge avec des étoiles blanches. La belle vaisselle est sortie, les couverts aussi. Puis sur le chemin de table, on pose les décorations, des perles, des bougies, des guirlandes. Sur le lustre, s’envolent des anges vers le ciel, anges qui nous regardent. Pour le plaisir, avant l’heure, on éteint la lampe et on allume bougies et sapins. La maison en est toute changée. C’est du plaisir à l’état pur.

Après la messe, nous pouvons rentrer à la maison. Parfois le Père Noël est passé, ce qui me ravit. Mais parfois aussi, nous n’allons pas à la messe qui est trop tardive et là, le Père Noël doit le savoir car il ne vient pas.

Nous passons à table. Le repas passe lentement, on prend le temps de parler tous ensemble, de rire. On met de côté ce qui ne va pas pour profiter de ce moment qui ne dure pas. Je trouve que ça s’éternise. Je voudrais tant que Papa Noël vienne tout de suite. Mais non, il faut aller se coucher, il passera dans la nuit. C’est qu’il est très occupé avec tous ces enfants dans le monde !

Le matin arrive, pardon, j’ai fini de dormir mais la nuit n’est pas finie. Je me lève sans faire de bruit, direction le sapin. Youpi ! Les cadeaux sont au pied du sapin !

« Maman !! Papa !! Debout !! Le Père Noël est passé !! »

Je ne suis pas la seule à être debout, mes sœurs aussi ! C’est l’effervescence ! Je tremble tant j’ai envie de savoir ce qu’il m’a apporté. J’espère que ce n’est pas une mandarine comme quand Papa et Maman étaient petits ! Non, c’est un jouet !! Ce n’est pas une Barbie, mais qu’importe, je suis tellement contente !

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