Blog en pause mais je reviens très vite


blog en pause

A l’heure où vous lirez ce message, je serai probablement en train de me faire opérer d’un œil, en raison de deux petites déchirures de la rétine, prises à temps et d’un bon pronostic m’a-t-on dit.

Evidemment ce n’était pas prévu, évidemment je ne pourrai valider vos commentaires qu’à mon retour, évidemment

Je devrais sortir mardi dans la matinée, si tout va bien (ce qui sera le cas), et donc je viendrai vous voir le plus tôt qu’il me sera possible.

Vous me manquez déjà ! A très vite !

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Le Violon Rouge


Le violon rouge, ou une musique triste mais surtout envoutante, douce, belle… Trois toutes petites minutes à déguster doucement… mais pleinement !

Le travail et la vie


Au bord de l’eau, dans un petit village mexicain, un bateau rentre au port. Un américain qui est là, complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses prises et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer.

– Pas très longtemps, répond le Mexicain.

– Mais alors, pourquoi n’êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus ? demande l’Américain.

Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffisent à assurer la subsistance de sa famille.

– L’Américain demande alors : Mais que faites-vous le reste du temps ?

– Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis, nous buvons du vin et jouons de la guitare. J’ai une vie bien remplie.

– L’Américain l’interrompt : J’ai un MBA de l’université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre votre poisson à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico, Los Angeles, puis peut-être New-York d’où vous dirigeriez toutes vos affaires.

– Le mexicain demande alors : Et combien de temps cela prendrait-il ?

– 10 ou 20 ans, répond l’Américain.

– Et après ?

– Après ? C’est là que ça devient intéressant, répond l’Américain en riant, quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions.

– Des millions ? Mais après ?

– Après ?

– … Vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis…

Trouvé sur le net

Citation du jour : l’espoir de Simone de Beauvoir


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« Dans toutes les larmes s’attarde un espoir. »
Simone de Beauvoir

Joshua Bell


Je sais, encore du violon… C’est ma lubie du moment ! Là, si vous le voulez, je vous emmène en concert avec Joshua Bell, au pays de la musique douce et pleine d’émotions, un petit moment de bonheur.

Que voudrais-tu faire quand tu seras grand ?



Une mère de 26 ans était très pensive en regardant son fils qui se mourait de leucémie terminale. Même si son coeur était abattu par la tristesse, elle conservait un grand sens de détermination. Comme toutes les mères elle souhaitait que son fils croisse et réalise tous ses rêves. Mais maintenant cela n’était plus possible pour son fils. La leucémie ne le lui permettrait pas. Mais même ainsi, elle voulait que les rêves de son fils se réalisent.
Elle prit la main de son fils et lui demanda : "Billy, as-tu déjà pensé à ce que tu aimerais être quand tu grandiras ?… As-tu rêvé et pensé parfois à ce que tu ferais de ta vie ?"
"Maman, j’ai toujours voulu être un pompier quand je serais grand."
La mère sourit et dit:
"Voyons si nous pouvons faire de ton rêve une réalité."
Plus tard ce jour-là, elle se rendit au Poste de Pompiers de Phoenix, Arizona.
Là elle connût le Pompier Bob, un homme avec un coeur grand comme Phoenix
Elle lui expliqua le dernier désir de son fils et lui demanda s’il était possible de donner à son fils de six ans une promenade autour du carré de maisons dans un camion de pompiers.
Le Pompier Bob dit :
"Voyez madame, nous pouvons faire quelque chose de mieux que cela.
Que votre fils soit prêt mercredi, à sept heures du matin exactement et nous le ferons "Pompier Honoraire" durant toute la journée. Il peut venir ici à la station avec nous, manger avec nous, sortir avec nous quand nous recevrons des appels pour incendies sur tout notre territoire. Et si vous nous donnez ses mesures, nous aurons pour lui un véritable uniforme de pompier avec un vrai chapeau qui portera l’emblème de la Station de Pompiers de Phoenix, non pas un jouet, mais l’emblème jaune que nous portons et il aura aussi ses bottes de caoutchouc. Tout cela est fait ici à Phoenix, ainsi ce sera facile de l’avoir assez rapidement."
Trois jours plus tard le Pompier Bob alla chercher Billy, il lui mit son uniforme de pompier et il le conduisit de son lit d’hôpital jusqu’au camion-pompe. Billy dû s’asseoir à l’arrière du camion et aider à conduire durant le trajet de retour à la station. Il se croyait au ciel. Il y eut trois appels ce jour-là à Phoenix et Billy a dû sortir pour les trois appels. Il y alla dans trois camions différents. Il est revenu dans le mini-bus paramédical et aussi dans l’auto du Chef des Pompiers. Ils filmèrent l’évènement pour les nouvelles locales de la télévision.
Ayant réalisé son rêve et avec tout l’amour et l’attention qui lui furent donnés, Billy fut touché si profondément qu’il réussit a vivre trois mois de plus que ce dont n’importe quel médecin pensait qu’il vivrait.
Une nuit, tous les signes vitaux commencèrent à faiblir de façon dramatique et l’infirmier en chef, qui croyait dans l’idée hospitalière que personne ne doit mourir étant seul, commença à appeler les membres de la famille pour qu’ils viennent à l’hôpital. Ensuite, il se souvint du jour que Billy avait vécu comme s’il était un pompier et il appela le Chef de la Station et lui demanda si c’était possible qu’il envoie à l’hôpital "un pompier" en uniforme pour qu’il soit avec Billy quand il rendrait l’âme. Et le Chef lui dit : "Nous ferons quelque chose de mieux. Nous serons là dans cinq minutes. Vous pouvez me faire une faveur ?… Quand vous entendrez sonner les sirènes et verrez clignoter les lumières, avertissez dans les haut-parleurs qu’il n’y a pas d’incendie, mais que le Département des Pompiers vient visiter une fois de plus un de ses plus importants membres. Et s’il–vous-plaît ouvrez la fenêtre de sa chambre."
Cinq minutes plus tard, un camion de pompier arriva à l’hôpital avec un crochet et un escalier télescopique qui se levèrent jusqu’au troisième étage où était la fenêtre ouverte de la chambre de Billy et "16 pompiers" montèrent dans la chambre de Billy. Avec la permission de sa maman, chacun d’eux l’embrassa et le berça lui disant qu’il l’aimait.
Billy regarda le Chef des Pompiers et de sa voix d’agonisant lui demanda : "Chef, suis-je maintenant un vrai pompier?"
Le chef lui répondit : "Oui, Billy, tu l’es".
A ces mots Billy sourit et ferma les yeux pour la dernière fois.

La Boiteuse, le nouveau livre de la bibliothèque


Un nouveau livre est arrivé dans la bibliothèque de mariessourire, un livre à dévorer, et surtout ne pas s’arrêter sur le titre… Ok, c’est encore l’histoire d’une boiteuse, mais promis, c’est le hasard, le plus pur et le plus grand des hasards…

La Boiteuse, Un hommage à la famille, à la tendresse, à l’amour de Marthe Gagnon-Thibaudeau, Editions “Succès du Livre Collection”, roman, 2005.

Quatrième de couverture :

“La jeunesse de Gervaise Lamoureux n’est pas rose. Après avoir vu, à l’âge de 3 ans, sa tante mourir de tuberculose, elle est blessée et reste boiteuse. Sa mère devient folle, son frère quitte la ferme familiale et son père s’endette pour lui payer des soins.

Gervaise se retrouve alors pensionnaire dans la famille Lamont où elle s’entend bien avec la petite Julie et Juliette sa mère, mais le père bat sa femme et Gervaise s’enfuit. Elle est recueillie par un brave curé qui la confie à ….”

Après avoir vécu de nombreuses années loin de son Québec natal, Marthe Gagnon-Thibaudeau se découvre une passion pour l’écriture. En quelques années, elle écrit six romans, dont “Pure laine, pur coton” et “Le Mouton noir de la famille” qui rencontrent aussitôt un large public.

Extrait, page 12 :

“Furieuse, Lucette saisit l’enfant, et la roua de coups. La pauvre petite, sidérée, subit la colère de sa mère et ne fit aucun mouvement pour tenter de se protéger. Et Lucette frappa, frappa encore.

– Arrête, Lucette, arrête, tu vas la tuer ! hurla la malade.

Mais Lucette n’entendit pas. La fillette, clouée au sol, criait à rendre l’âme. Marie, effrayée, se leva avec peine, s’empêtra dans sa longue robe de nuit et tomba de tout son long sur l’enfant qu’elle chercha à protéger.”

Mon avis :

Un livre passionnant qu’on dévore et dont on dit après avoir lu la dernière ligne : “Comment ? C’est déjà fini ?”

Et une quatrième de couverture qui manque d’exactitude, comme si la personne chargée de l’écrire, avait lu le livre en diagonale… Mais ce n’est qu’un détail….

J’ai adoré… Les images ont défilé… Jai tout oublié… y compris le …

Suite de l’avis dans la bibliothèque ICI !

Un nouveau livre est en cours de lecture, Le Papillon des Etoiles dont m’avait parlé Gisèle, je vous dirai tout ce que j’en pense dimanche prochain !

Citation du jour : Emotion


« Il faut aimer les gens, les objets, les traces de l’émotion pour percevoir ce monde plein d’ingéniosité et d’émotion. »

Cité dans le Diana du pont de l’Alma

Un violon et un dj


Encore une histoire peu banale, une autre façon d’aborder la musique ! Autant de musiciens, autant de musiques…

L’été est à nos portes, déjà !


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Une plage qui n’attend plus que nous, un sable mouillé où l’on peut flâner en profitant de l’air iodé revivifiant, quelques arbres pour un peu d’ombre qui seront désertés en ce temps de début d’été.

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Quelques vaguelettes paresseuses nous emmènent dans un autre paysage, celui de vacances  méritées, celui de la rêverie à l’heure solitaire, celui d’une image d’un paradis pour l’instant inaccessible.

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Une promenade solitaire où l’on a la plage à marée descendante rien que pour nous, un luxe que n’auront pas les juillettistes ni les aoûtiens et que je ne peux que vous offrir en photo.

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Un soleil magnifique qui ne devrait pas nous quitter du week-end, ni même de la semaine, des températures d’une douceur exceptionnelle, nous avons 21° aujourd’hui, demain comme lundi, il est prévu 22°. On croirait un début d’été alors que nous sommes à peine fin mars.

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La photo est un peu ratée, elle est prise sur le vif (en me retournant).

Les amoureux sont là, discrets, dans leur bulle bien à eux. Un moment de bonheur à saisir, là tout de suite, avant qu’il ne s’échappe.

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photos prises sur la plage d’Arcachon le 19 mars 2012

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