Dans le lointain, à l’horizon, les nuages blancs veulent nous faire croire, au pied de la lettre, qu’ils sont chargés de neige.
Nous marchons à notre rythme, balayés par un petit vent de mer, chargé d’odeur.
Les embruns qui viennent du large emportés par le vent sur la crête des vagues, nous caressent le visage et nous pénètrent dans tout le corps.
Marcher, se laisser emporter, ne plus penser à rien.
Marcher, accompagnés par le bruit enchanteur des petites vagues, qui comme le chant des oiseaux, nous transporte dans un lieu, irréel, surnaturel, ou plus rien ne compte que la beauté de la nature.
Plus de préoccupations, marcher, toujours, sans fin,
vers un autre lieu
si différent,
qui paraît identique pour le profane, et si merveilleusement complémentaire.
Jamais, nous ne nous lassons de ce chemin.
Tiens, les nuages s’effilochent, ils semblent ricaner « Alors , je t’ai bien eu !!!! »
Mais la vie nous appelle, il nous faut prendre le chemin du retour.
Mais il nous suffit de fermer les yeux pour que tout de suite, les sons, les odeurs, le paysage si magnifique nous emmènent virtuellement et nous rendent si heureux.
Makaulaya
Ghislaine
Déc 26, 2010 @ 19:36:45
ah oui ………….c’est bien ecrit …….
j’aime beaucoup les nuages qui se moquent hihihihihi
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Jazzy
Déc 26, 2010 @ 22:46:39
Un texte qui nous incite à prendre nos chaussures de marche et aller toujours plus loin , j’aime .
Bonne soirée
Bisous
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claudielapicarde
Déc 27, 2010 @ 09:46:48
Il donne envie de promenade ton texte, dommage qu’il fasse si froid en ce moment.
bisous et vivement le printemps.
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mariessourire
Déc 28, 2010 @ 23:01:05
Claudie ? C’est le texte de Makaulaya, là !
sourire
Et voilà en quelques mots, tout le plaisir que l’on peut avoir à marcher au bord de la mer…
j’aime, j’aime, j’aime !
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